A long time ago, an entire life & a different man.
Il y a plus de 2000 ans avant notre ère, à Athènes, en Grèce.
Le soleil venait de se coucher sur l’Attique, Apollon laissait place à sa sœur pour qu’elle fasse briller la cité de son éclat argenté. Les étoiles apparaissaient peu à peu sur Ouranos qui s’était revêtu d’un habit noir, elles brillaient de milles éclats. Tout cela était un ballet orchestré par les dieux, d’une manière précise et rigoureuse. Chaque chose avait sa place dans le cosmos depuis le début des temps. L’air s’était rafraîchi grâce au déclin du soleil, laissant apparaître une petite brise agréable. Une longue journée venait de s’achever pour Stefano, le riche marchand de tissus qui prospérait aux alentours de la mer Méditerranée. Cependant, il n’allait pas se coucher avant un petit moment. Ariane s’être revêtue d’une magnifique tenue qui montrait sa richesse aux yeux de tous, un voile posé sur ses magnifiques cheveux dorés coiffés pour l’occasion. Lui-même s’était vêtu d’une toge rouge bordeaux longue cachant ses sandales. Des dorures apparaissaient afin de montrer sa richesse. Ses cheveux noirs aux boucles soyeuses étaient minutieusement coiffés. L’heure était venue à la fête, un ami l’avait invité dans sa villa afin de célébrer l’union de deux êtres par Hera et Zeus. Ils s’en étaient allés à cette fête où tous les hommes affluents de l’Attique semblaient présents. Un sourire arrogant étirait son visage au teint mat. La fête battait son plein, des musiciens semblaient joués avec en train pour animer cette célébration afin que les dieux puissent les entendre. L’opulence de son hôte montrait sa richesse et c’était ce qu’il le faisait sourire. Trop d’opulence comme dans cette célébration montrait une certaine faiblesse, du cache-misère selon lui. Stefano lâcha bien Hélêné afin de rejoindre les hommes dans la pièce principale où les hommes parlaient de pouvoir. A son arrivée, Stefano avait ce sourire enjoué et arrogant. Ils se saluèrent et Stefano se joignit à la conversation, une coupe de vin qu’il portait à sa bouche.
Un homme qui était avec eux ne semblait pas être de la partie, Stefano l’observait avec un air circonspect. Tout le monde connaissait le marchand de tissus, c’était un homme fier et arrogant avec une fermeté qui tendait presque avec sa cruauté. Tout le monde savait à quel point son sourire et son rire étaient faux. Stefano ne riait jamais vraiment ou si peu. C’était un homme colérique qui ne valait pas mieux être cherché. Cependant, il était un homme intelligent et très curieux. Avançant d’un pas ferme, les sourcils froncés. Ses yeux marron ambrés étaient fermes et durs dont rien ne semblait pétiller. Des yeux mornes et des larges épaules qui semblaient peser. Il avait une allure et un grand charisme. Le dieu Apollon l’avait vraiment gâté avec un tel physique, il avait 40 ans, un âge où des cheveux blancs apparaissaient, prenant du ventre. Tous ses amis devenaient chauves ou avaient des cheveux blancs, prenant du ventre à cause de la nourriture servie à foison. Non, lui, était encore svelte et musclé, ses cheveux étaient encore noirs. Il semblait être jeune par rapport à ses amis du même âge. Un charisme étonnant pour un âge aussi avancé. Ce qui trahissait son âge, c’étaient ses yeux. Stefano avait beaucoup perdu, beaucoup trop, beau nombre de ses enfants étaient morts avant même de naître. Il avait bien trop vécu et sentait même que sa jeunesse était derrière malgré sa bonne conservation.
-Et bien, mon cher ami, que se passe-t-il ? Demanda Stefano d’une voix cassante.
JEn tant qu'Ange Déchu, j'ai vous toutes les époques et tous les âges de l'humanité. Si je considère mes plus belles années à Versailles, en tant que Madame de Montespan, mes années durant l'antiquité Grecque n'étaient pas déplaisante. En tant que Patron de la Luxure, je me devais de me trouver dans l'un des cœurs politiques et économiques les plus influant de son temps : Athènes.
A l'époque, nul besoin de caché mon vraie nom et, de plus, je ne disposais pas du même hôte, même si mon hôte de l'époque était tout aussi beau que fut Madame de Montespan ou bien mon hôte actuel, Sacha : des longs cheveux noirs, onduler, des yeux aussi bleu que l'océan, un corps bien tailler et muscler, une barbe noir finement tailler et un visage dont il était impossible de déterminer l'age de manière exacte. A l'époque, j'étais Asmodaeus, une déformation de mon nom réel, Asmodae.
Déjà, j'étais doué pour la séduction et les arts sensuels, guider par ''Aphrodite'', selon eux, j'étais aussi déjà connut et c'était tout naturellement qu'un des riches de la ville, un ''ami'' qui avait déjà demander de mes services, m'avait invité pour une célébration dont ne j'avais que faire. Ce qui m’intéresser, c'était de trouver de nouvelles victimes, des nouvelles âmes à piéger dans mes bras. Je m'étais donc mêler aux hommes, mes partenaires de chambres favoris, pour trouver ma proie. Malheureusement, ici n'est qu'hommes dont la beauté, si elle a existé un jour, n'est plus de la dernière fraîcheur. Mais voilà venir la cible de la soirée.
Un homme qui semblait être dans la quarantaine, très bel homme qui n'était pas des plus désagréable à regarder. Et on dirait que la victime se jette toute seule dans mes bras, venant vers moi par lui même. Encore mieux, il engage la conversation ! Cette soirée s’annonçait plus intéressante que prévu...
''Et bien, j'observe, et le paysage semble être devenu de façon soudaine plus agréable à regarder'' lui répondis-je en lui souriant.
L'homme ne semblait cependant pas être d'une joie de vivre écrasante. J’espérais qu'il n'allait pas trop difficile à charmer et à séduire. A se moment, j'ignorais encore que cet homme deviendrait sûrement l'une des rares personne que je considère comme ami, ou du moins, que j'accepte volontiers à revenir dans mon lit occasionnellement.
''La soirée est elle à votre goût, monsieur ?''
Il faut dire que les grecques antiques avaient une déesse très inspirante pour quelqu'un comme moi : Aphrodite ! En voilà un personnage que j'adore. Moi au féminin ! Une déesse de l'amour mais surtout du sexe... Et qui apporte son lot de soucis quand elle vient vous voir !
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