La douleur était forte, mais pas insupportable. Cependant, Alice était ralenti et boitait, une grande plaie sur la hanche gauche, blessure laissé par l'un des marins qui l'avait attaqué sur le bateau. Et maintenant, il était la. Perdu. Égarer dans un monde qu'il ne connaissait pas. Nerveux, on aurait put le croire sous l'emprise d'une drogue quelconque, tournant vivement la tête de gauche à droite tandis qu'il analysait tout ce qui l'entourait...
Il était arrivé dans une structure bordant la mer, en bateau. Les marins étaient affolé, hurlant qu'ils avaient pêché une véritable Sirène, un Triton. Et qu'il avait tué l'un des marins. Alice n'y prêtait pas attention, de toute façon, il ne comprenait pas ce que hurlaient ses humains. Et si il n'avait pas été nu, personne ne l'aurait remarqué... Mais heureusement pour lui, les marins qui l'avaient pêché ne semblait pas l'avoir vu. Alice se dirigea vers les entrepôts, attiré par l'odeur des poissons. Avec l'agitation provoqué par les marins, tout le monde était sorti et s'horrifiait devant le corps mutilé du pêcheur. Dans un coin, une caisse avec des poissons à trié. Les yeux d'Alice se posèrent instantanément dessus tandis qu'il accourra vers la dite caisse. Il prit l'un des poissons, le colla a son nez pour le sentir. Cela semblait être à son goût puisqu'il planta ses dents dans la chaire du poisson. Ses dents humaines étaient beaucoup moins pratiques pour manger un poisson. Mais il s'en fichait. Il avait faim.
Quelqu'un l'avait vu, il cria vers Alice, lui demandant son identité et d'arrêté tout de suite. Alice se mit instantanément sur ses gardes, tenant le poisson dans un mains, grognant vers l'homme. Alice était blessé et affamé, il savait très bien qu'il n'était pas de taille à affronté quelqu'un. Alors il préféra partir en courant, poisson en mains.
Il continua à avancé en mangeant le poisson. Les humais pêchaient aussi ? Était-ce pour sa que les poissons étaient si peut nombreux ? A cause des humains ? Alice se mit à grogné en y pensant, les gens autour de lui le dévisageant d'avantage. Un homme dénudé, mangeant un poisson crut et qui grogne... Autant vous dire que cela ne passe pas inaperçu...
Alice arriva sur le port de plaisance, bien évidement, il n'avait aucune idée de l'endroit où il était, mais il suivait son instinct. Il avait faim, et tout son corps ne souhaitait plus qu'une chose : trouvé à manger. Ici, il y avait plus d'humain, ce qui stressait d'avantage Alice. Ici aussi, c'était au bord de la mer. Il y avait de nombreuses boutiques et beaucoup de touristes. Certains jetèrent des coup d’œil inquiet à l'homme dénudé. Il donna un dernier coup de mâchoire dans la chaire du poisson, avant de finalement le jeté par terre. Un humain lui cria quelque chose, mais il ne fit pas attention et continuait de marché.
Une délicieuse odeur de poisson atteint ses narines. Mais une odeur de poisson étrange. Nouvelle. Un nouveau poisson dont il ignorait le goût ? Non. Il connaissait l'odeur. Elle était juste différente. Plus appétissante. Quelqu'un faisait des poissons grillé, un stands sur le port. Alice n'avait jamais vu de feu, alors il était à la fois effrayer par ce dernier, et attiré par l'odeur du poisson grillé, nouvelle pour lui. Il finit par cédé à son appétit plutôt qu'a sa crainte. Il s'approcha du stand en arrachant l'un des poissons sur le stands pour le dévorer, devant les cris horrifiés et les grognements du vendeur qui hurlait sur Alice. Il répliqua en grognant en retour. Il eu vite fait d'avalé en entier le poisson en jetant ce qui ne l’intéressait pas par terre. Alors qu'il allait en prendre un autre, le vendeur lui attrapa le bras en lui disant quelque chose. Alice grogna de plus belle en plaquant ses mains sur sa gorge et grognant de plus belle. Alice était un prédateur, un être qui écoute ses instinct avant sa pensé, et que quelqu'un l’empêche de manger... C'était la pire erreur qu'un être puisse faire...
Le soleil, la plage, un véritable délice ! C'est sans doute ce que j'aime le plus ici à Los Angeles, le fait qu'il y fasse beau presque toute l'année. Vous devez vous dire mais il est malade celui-là non ? C'est un vampire il se réjouit du soleil ? J'ai toujours aimé le soleil, et je ne dis pas ça car il est l’emblème de mon illustre frère, mais car je l'aime vraiment. Ses rayons chauds et bienfaisant, l'odeur et les couleurs qu'il donne aux peaux des humains et puis avec ma bague de jour au doigt je n'ai rien à craindre de lui. Vêtue d'un jean à la coupe classique, d'un tee-shirt blanc et de lunette de soleil, je marche donc sur la promenade laissant mon regard fureté sur les stands devant lesquels je passe. La mer est également des plus sublime. Aujourd'hui, il n'y a pas de vent et la danse des vagues n'est qu'une douce mélodie à mes oreilles vampirique et cela malgré le chahut des hommes, des femmes et des enfants qui se baignent.
Mes pas souples ne tardent pas à me mener au port de plaisance où je me pose tranquillement au smoothie où e me commande un cocktails fruités. Un pur délice ! J'adore manger de temps en temps comme un humain et surtout boire comme un humain. cela fait partie des plaisirs de la vie que j'adore plus que tout avec le sexe, l'art et bien-sur la mode ! Je suis assis depuis quelques minutes à peine à la table du café lorsque des cris se font entendre sur la jeté suivie par l'arrivé d'une jolie pairs de fesses sous mes yeux ! Un type se promène à poils sur le port de plaisance ! Oh mon dieu, mais quelle idée charmante. Un sourire éclair alors mon visage. Je bois encore un peu de mon verre, je paye ma consommation ensuite et je décide de suivre ce charmant postérieur. J'ignore qui est ce type, mais je pense qu'il vaut la peine d'être connu. Comment ça je dis ça seulement car il a une jolie pair de fesses ? C'est juste un plus ça !
Je le suis donc et plus je le regarde agir, plus je le trouve étrange. Des gens l'invective, certains lui proposent même des vêtements, mais il ne semble pas comprendre, pire que cela, j'ai l'impression qu'il a peur. Je me rapproche donc à vitesse vampirique et là son odeur me saute aux narines ! Une sirène ou plutôt un Triton ! Oh mais tout s'explique ! Il semble suivre une odeur et moi, c’est lui que je suis et cette fois plu pour ses fesses, mais pour le protéger en cas de besoin ou protéger les autres car la petite sirène ne semble pas franchement de bonne humeur. Le voilà face à un stand de poisson. Il arrache des mains du marchand un poisson, il l'avala à une vitesse fulgurante et lorsque il voulut en prendre un autre, le marchand attrapa alors son bras et là, tout dégénéra et très vite !
Et oui, les sirènes ne sont pas réputés pour leur gentillesse lorsqu'elle sont novice sur terre et le marchand en fait les frais. Je ml'approche alors et je tente de calmer les choses : "Allons, laisser mon ami prendre des poissons. Je vais payer tout ce qu'il mangera ça vous va ?" Je prends alors un poisson et je le montre au Triton pour qu'il lâche le cou de marchand qui commence sérieusement à être rougeâtre.
Quelqu'un d'autre approche d'Alice, un Homme. Un Homme ? Non. Pas un Homme. Alice le sentait. Cette personne qui échangeait avec le pauvre marchand n'était pas humain. Une odeur différente s'en dégageait. C'était un prédateur, lui aussi. Mais un prédateur de la terre. Alice ne le savait pas encore, mais cet homme était un vampire. Il n'avait jamais vu de vampire, comme il n'avait jamais vu d'humain avant aujourd'hui, mais son instinct le forçait à se mettre d'avantage sur ses gardes. Il n'avait pas confiance et était clairement sur la défensive, prêt à attaqué à tout moment si jamais la situation l'obligeait.
Alice ne comprenait rien de ce qu'il disait au marchand, et il ne comprenait pas plus le geste du prédateur de la terre lorsque se dernier lui tendit un poisson du stand. Alice ne put s’empêche de grogné, méfiant. Un prédateur qui propose de la nourriture ? C'est comme voir un requin vous proposé à manger : il y a quelque chose de louche. Alice prit le poisson et le senti avec attention, cherchant tout élément suspect. Mais rien. Il finit par lâché le marchand, en le poussant tout au fond de son stand avec une force qu'il n'avait pas cherché à atténué. Le poisson, lui, n'était pas si mauvais. Mais pourquoi un prédateur viendrait ainsi l'aider ? Alice ne chercha pas à comprendre et quitta le stand en accélérant le pas, échappant également au léger mouvement de panique qu'avait engendrer l'agression du pauvre marchand de poisson.
Mais le prédateur semblait le suivre, et cela agaçait sérieusement Alice, et une sirène agacée n'est pas la meilleure compagnie que l'on souhaiterait. Il se retourne d'un coup en grognant contre le prédateur, montrant ses dents et plaçant ses mains comme si il avait encore ses griffes, réflexes de prédateur marin. Cela n'avait pas pour but de déclencher un combat, Alice savait qu'il ne risquait pas de s'en tirer en cas de combat, de plus, il était blessé, et même si les sirènes se régénère rapidement, il avait encore mal et une affreuse entailles était apparente sur son flanc, un morceau du harpon s’étant brisé dans la plaie au moment où Alice l'avait retirer, sur le bateau. Non. Cela n'avait pour but que de dire au prédateur de la terre qu'il devrait s’éloigner. Alice n'avait malheureusement pas compris qu'il cherchait à l'aider, de toute façon, même si il l'avait comprit, il était bien trop méfiant envers le prédateur de la terre pour coopérer sur quoi que se soit.
La petite sirène perdu sur la terre avait abandonner sa quête de nourriture, maintenant, tous ce qu'il voulait, c'était que le prédateur le laisse tranquille, comprendre pourquoi il le suivait. Tout ses instincts étaient en alerte rouge et il l'avait l'affreuse sensation que c'était lui la proie désormais. Ce qui n'était pas vraiment qu'une impression. Sur terre, Alice ne se sentait pas en sécurité, pas libre de ses mouvements, cloué au sol et dépourvue de moyen de défense.
Bon, dois-je comprendre que ce grognement est un merci ? Il semble partagé entre la méfiance et la surprise à égard. Je suppose qu'il doit sentir ce que je suis ? La plupart des créatures surnaturelles le sentent. C'est un peu comme un emprunte, pas deux espèces ne possèdent la même odeur. Je ne n'a pas rencontrer beaucoup de Sirène pour ma part, mais il ne fait aucun doute que cet homme en est une, enfin un... Tiens, c’est quoi le féminin de Sirène ? Je l'ignore et je suppose que la créature aquatique face à moi ne saura pas me le dire non plus. Il prend le poisson c'est déjà ça. Il le sent comme ci cela était un aliment suspect. Peut-être n'est il pas habitué aux poissons du marché ? J'imagine bien qu'il doit y avoir une sacré différence entre un poisson frétillant dans l'eau salée de la mer et ça... Il lâche ensuite le marchant que je m'empresse sur le champ de dédommagé pour le dérangement. Je ne veux pas que la créature aquatique puisse s'attirer des ennuis. Il y a beaucoup de chasseur ici et j'imagine que son arrivée nu comme un vers n'a pas passer inaperçue. Remarque avec un corps pareil ce n’est pas étonnant et d'après ce que je vois c'est aussi beau de dos que de face. Oh là mais que'est ce que je fais ? Ce n’est pas très polie ni très respectueux tout ça ! Le pauvre ne sait surement pas qu'il faut porter des vêtements. D'ailleurs, autre chose attire à présent mon regard et se porte à mes narine qui étaient jusqu'alors trahis par l'odeur du poisson. La Sirène est blessé ! C'est sans doute pour cela qu'il est sortie de l'eau. Oh malheur le port de pêche est tout prêt ! Il vient surement de là ! Il vaut mieux partir au plus vite il ne maquerait plus que les pêcheurs rappliquent ! Bon à présent qu'il a lâcher le marchand, maintenant il me faut convaincre cet homme tout juste sortie des eaux de me suivre chez moi ! Je n'ai d'ordinaire pas de difficultés à convaincre les hommes de me suivre, mais là c'est une autre histoire...
Alors que je réfléchis la créature s'éloigne très rapidement. Oh, oh mon tout beau tu ne pense tout même pas m'échapper si facilement non ? Je le suis donc et vue les grognements et les gestes de la créatures, je crois qu'elle n'apprécie pas vraiment. Bon Philippe tu es intelligent, tu vas bien trouver un moyen ! Je continue à le suivre alors que la Sirène semble de plus en plus perdu et affolée par ma présence. Bon je vais lui parler on verra bien de toute façon je n'ai pas grand chose à perdre à essayer non ? "Je t'en pris attend." Dis-je en postant mes mains face à moi. "Je ne te veux aucun mal. Je dois te retirer ce qu'il reste de fer dans ta plaie et te mettre en sécurité !" Je prends le visage le plus doux et amical que je peux, il faut qu'il me suive et vite !
Alors que je parle à la créature de la mer, j’aperçois au loin des pêcheurs qui semblent chercher quelques chose. "Regarde." Dis je ensuite en lui montrant les pêcheurs d'un geste de main. "Ils sont là pour toi. Ils te veulent du mal pas moi." Ajout-ai je de la voix la plus douce et posée que je peux.
Le prédateur qui le suivait l'avait maintenant arrêter, les mains face à lui, il lui parlait mais Alice ne comprenait pas. Il avait prit un air doux mais l'odeur de prédateur de la terre accrocher à lui rendait Alice nerveux et méfiant. Alice penche la tête sur le coté, les yeux grands, fixant le prédateur. Soudain il leva le bras en montrant un groupe d'homme au loin. C'était eux... Les humains qui l'avait tirer de l'océan, qui l'avait piéger dans ce filet. Il en avait tuer un, dans la panique. Ils voulaient sûrement se venger, ou alors, il voulait chasser Alice pour le vendre, comme tout ses poissons. D'ailleurs... Alice fit le lien... Les poissons étaient de moins en moins nombreux. Était-ce à cause des humains ? A cause d'eux ? Il grogna a cette idée. Le prédateur avait dit quelque chose d'autre mais Alice ne comprenait toujours pas.
Alice grogna en ouvrant brièvement la bouche, montrant ses dents en direction des pêcheurs. N'ayant pas compris un mot de l'homme et n'ayant pas chercher à comprendre non plus, Alice partit, s'enfonçant dans les terres, s'éloignant de l'océan. Il sentait son corps qui commençait à se dessécher et sa blessure lui faisait de plus en plus mal. Le bout de métal loger dans sa plaie le gênait de plus en plus également, il plongea un doigts dans la plaie et tira le bout de métal tranchant qui était bloquer dans la plaie. Du sang se mit à couler, la blessure ouverte par les gestes d'Alice.
Il n'avait pas peur, il savait qu'il était faible ici, de plus, il était blesser, de se fait, il n'était pas de taille pour se défendre face à des humains, de plus, un prédateur de la terre le poursuivait. Bien entendu, il souhaitait l'aider mais Alice l'ignorait, n'ayant pas comprit. Venant tout juste d'arriver, il avait compris certain mot mais il ignorait leur sens.
La douleur fut soudaine plus forte, si forte qu'il flancha, ses jambes soudainement plus assez forte pour le porter. Il tomba genoux aux sol en grognant de douleur, planquant sa mains sur la blessure, du sang coulait encore, de longues traces de sang coulaient le long de sa jambe gauche. Sa blessure semblait ne pas réagir de la même manière que dans l'océan. Normalement, sa blessure ne lui aurait pas fait su mal et il n'aurait pas autant saigner. Son corps humains agissait-il différemment que son corps aquatique ?
Mais quel tête de mule cette créature aquatique ! Oh et moi qui pensait que sur terre on avait des têtes de pioche je connaissais pas encore celles de l'océan ! Il ne semble vraiment pas comprendre ce que je dis et je dois dire que je ne sais pas comment être plus explicite avec lui. Il grogne encore en regardant les pêcheurs que je lui ai montré à l'instant. Bon visiblement il comprend qu'ils ne sont pas bon pour lui. Bon c'est déjà ça de gagner. Mais quand je pense qu'il enfin me suivre, le voilà qui choisi à nouveau de fuir dans la foule ! Oh no pas encore ! Et c'est partie pour une nouvelle poursuite, mais cette fois il n'est pas aussi rapide à me fuir mais la raison en est inquiétante puisqu'il s'agit d'un bout de métal planté dans sa cuisse. Bon tant qu'il ne retire pas le morceau ça ira sinon il risque de se vider de son sang. Mais pourquoi est-ce que j'ai pensé à ça ? Le voilà à présent qui se retire le beau de métal de la chair d'un coup ! Oh c'est pas beau à voir et en plus le sang coule abondamment à présent.
Il marche encore quelques pas, puis finalement il s'écroule au sol sans doute à cause de perte de sang. Bien voilà qui va finalement me faciliter les choses. Je me rapproche donc de lui avec la plus grande des précautions. Je ne veux pas qu'il ait peur de moi. Je voudrais tant qu'il comprenne que je veux simplement l'aider. "Attends je vais t'aider." La créatures des mers semble de plus en plus faible. Le sang coule très rapidement de sa blessure. Il faut arrêter son écoulement ou la Sirène va mourir ! Bon aller je suis un vampire alors je vais utiliser ma force pour l'emporter chez moi qu'il le veuille ou non !
Les pêcheurs semblent avoir remarquer les traces de sangs ! Il vaut mieux ne pas traîner ! "Allez hop ma petite sirène, on s'en va d'ici !" Je le porte alors dans mes bras. Avec ma force vampirique pour moi c'est comme porter un petit bébé, enfin un gros bébé ! Malgré les gesticulations de la créatures, je l'emporte et à vitesse vampirique, nous voici à l'abris chez moi. Je monte avec lui très rapidement à l'étage ou je le pose sur mon lit. Prochaine étape, soigner sa blessure ! D'abord faire un garrot, puis soigner cela. Bon je réfléchis, puis ne voyant rien d'autre, je m'entaille la main et je fais couler sur la plaie du sang. Celle-ci commence alors à se refermer. Pas entièrement, mais au moins le sang ne coule plus c’est déjà ça. "Voilà, repose toi. Tu es sécurité ici." Lui dis-je d'une voix douce avant de le recouvrir d'un drap.
Le comportement si attentionné du prédateur de la terre pousse Alice à se méfier de lui. Qui ne serait pas inquiété par un requin venant soudainement vous aidez ? Le prédateur ne laisse pas vraiment le choix à Alice et le porte pour l'emmener... Dans l'une de ses structures si étranges. Cela ne ressemblait pas à ce que l'ont trouvait dans l'océan, tout était droit. Non naturel. Si bizarre.
Le prédateur de la terre pose Alice sur un lit, Alice observe son environnement en ignorant totalement ce que le prédateur pouvait lui faire ou lui dire. Il voyait bien qu'il le soignait... enfin... Il l’espérait, car il ne comprenait pas grand chose à ce qu'il lui faisait. Il savait juste qu'il avait moins mal et qu'il ne saignait plus. Le prédateur finit par dire quelque chose, mais encore une fois, il ne comprenait pas, lui le recouvrit d'un draps. Alice examina le draps, c'était la première fois qu'il en voyait un. N'ayant pas compris les instructions de son... sauveur ? Il se leva en écartant vivement le draps. Sa jambe lui faisait mal, mais c'était devenu largement supportable.
Alice examina chaque coin, prenant les bibelots pour mieux les examiner. Tout était si... bizarre, si nouveau. C'était donc cela, le monde de la surface ? Il est bien étrange... Et Alice ne savait pas trop quoi penser de tous ceci. Il n'appréciait pas son aventure sur la terre ferme pour le moment... Il aurait préférer retourner dans l'océan le plus vite possible. Mais il savait que c'était impossible pour le moment. Il finit par regarder celui qui l'avait sauver, et parla pour la première fois.
''Prédateur''
Il n'était toujours pas à l'aise en sa compagnie, il avait beau avoir été sauver par ce dernier, il sentait toujours cette nature prédatrice au fond de l'homme en face de lui. Il voulait retourner chez lui, dans l'océan, qu'il pouvait voir à travers l'une des fenêtres. Il regardait cette vaste étendu d'eau, qu'il n'avait, jusque la, vus que de l'intérieur.
Le voilà allongé et en sécurité. Mais c'était sans compter sur le caractère buté de ma petite sirène qui se sort du lit aussitôt que j'ai le dos tourné ! Oh c’est pas vrai j'aurais dû opter pour des attaches plus que pour un drap ! Bon il ne semble pas fuir ce qui est déjà une bonne chose. Il explore simplement les lieux du regard. L'endroit doit surement le surprendre. J'imagine qu'il n'a jamais rien vue de tel sous l'océan. Mon cœur s’emballe un peu quant il prend dans entre ses grandes mains certains objets très fragile, mais je garde mon calme. Si il en casse et bien ce n'est pas si grave, enfin si c’est grave puisque certains de ces objets son irremplaçable mais je ne veux pas lui faire à nouveau peur sachant que vue le regard qu'il me lance encore il n'a pas l'air d'avoir franchement plus confiance en moi que tout à l'heure. Pourtant je lui ai montré que je ne suis pas une mauvaise créature, que je ne lui veux aucun mal. Mais il faut croire que cela n’est pas suffisant...
J'attends alors avec la plus grande des patiences de voir ce qu'il va faire. Finalement la créateur des mers repose son regard sur moi et pour la première fois des mots passent ses lèvres et pas n'importe lesquels "prédateur"qu'il m'appel. Oui, c'est bien ce que je suis, un prédateur terrestre. "Oui, ceux de mon espèce sont des prédateurs, mais moi je ne tue pas les gens. Je suis inoffensif pour toi. Crois moi tu n'as rien à craindre." Même si le ton de ma voix est doux, j'imagine que mes mots n'ont aucun sens pour lui...
La créature des mers se retourne à nouveau et regarde à présent l'étendu de l'océan par la fenêtre et dit d'une voix douce "chez moi" "Oui, je sais que c'est chez toi. Et dés que tu sera guéris" Dis-je en lui montrant sa blessure à la jambe : "Tu pourras retourner chez toi et je t'aiderais à y retourner. Pour le moment c’est trop dangereux." Mon regard se porte sur la promenade où les pêcheurs sont encore en traque ! "Tu vois, les véritables prédateurs c’est eux ! Si tu sors à nouveau il te feront encore du mal et peut-être même qu'il te tueront cette fois..." Mon air se fait plus triste à cette pensée. Une si belle créature et eux ne pensent qu'à la tuer !
Alice est envahi d'une profonde tristesse et d'une colère qui l'est tout autant. Si il est ici, c'est a cause de ses humains ignorant et arrogant. Jamais il n'aurait approcher la surface si les humains ne pêchaient pas tout le poisson. Jamais il n'aurait été pécher, si les humains respectaient la vie des autres espèces. De plus, avec toutes les caisses de poissons qu'il avait put voir, Alice était sûr et certain que les humains gardaient tout le poisson pour eux. Ainsi... même si il retournait dans l'océan, tôt ou tard, cela recommencera pour une autre Sirène, voir pire : les siens pourraient mourir de faim, et cela il était hors de question qu'Alice regarde sans rien faire.
Les mots de l'homme n'avaient pas tous de sens, et Alice ne parvenait à comprendre que vaguement certain mots, mais il apprenait, doucement... Les Sirènes sont des créatures intelligente, et Alice à déjà assimiler certain mot simple. Si le prédateur de la terre souhaite réellement l'aider, peut être pourrait il aider les siens également ? Mais comment le formuler ? Alice réfléchit un instant, puis, regarda autour de lui. Il prit dans les mains une figurine de Sirène qu'il posa sur le sol, face au Prédateur, il posa son doigt sur la figurine en fixant l'homme. Le silence fut long et, finalement, Alice détacha un petit poisson qui étaient autour de la sirène sur la statuette, n'ayant pas conscience d'une quelconque forme de valeur physique ou sentimental. Il montra le poisson, le gardant au dessus de la sirène, puis le lança au pied du Prédateur.
''Poisson...''
Alice ne savaient pas réellement comment être claire dans son explication, mais si il vit ici, le Prédateur sait forcement de quoi il parle, non ?
''Terre. Pois.son... Mer. Plus pois.son.''
Les mots étaient difficilement articuler, avec un accent venu des profondeurs et une assurance bancale, mais au moins, Alice essayait de se faire comprendre...
Ce mélange d'émotions qui transpercent la créature aquatique me submerge de toute part. Contrairement à ce que les gens pensent, les vampires ne sont pas dépourvue d'empathie bien au contraire. Je trouve que depuis que je suis vampire, je ressens d'avantage encore les émotions des gens autour de moi sur tout des émotions aussi forte que celles qui émanent de cette créature marine masculine particulièrement agréable à la vue... Ben oui, j'ai des yeux et je regarde il n'y a rien de mal à ça non ? Il semble plus calme et il désire communiquer avec moi, mais ne sachant vraisemblablement pas comment formuler tout cela, il prends des petites figurines et me montres ce qu'il veut dire. Terre poisson, Mer plus de poisson ? Je vois ! Il est sortie de l'océan pour chasser ! Bien évidemment, la fin est ce qu'i pousse l'homme et même les animaux à se déplacer. Les créatures de l'Océan ne font semble t'il pas exception à la règle. "Je comprends, tu es ici pour trouver de la nourriture pour les tiens ? Les hommes pêchent beaucoup et il ne vous reste plus d'autre chose que de monter à la surface pour manger !" Révoltant !Tout cela me dégoûte ! C'est dans ces moments là que je suis bien heureux de ne plus véritablement faire partie de la race humaine ! Il y a vraiment de quoi parfois avoir honte de faire partie de la même espèce qu'eux ! Je ne suis pourtant pas de nature cruelle et vindicative, mais parfois il m'arrive d'avoir envie de rendre justice moi même !
Il faut que je me calme. J'imagine que la créature doit elle aussi ressentir les changements d'émotions en moi. Je dois l'apaiser le plus possible. Il ne faut plus qu'il est peur de moi ou il se fera tuer par les pêcheurs ou d'autres personne aussi mal intentionné qu'eux ! "Tu peux rester ici si tu le veux. Tu es en sécurité auprès de moi. J'ai du poisson au frigo je t'en donnerai." Puis je lui souris et je lui tends un peignoir. Non pas que sa nudité me perturbe bien loin de là, mais si il doit vivre à la surface, il doit en comprendre les coutumes et l'une d'entre elle et les vêtements. "Il faut te couvrir le corps. Ici les gens portent du tissus sur leur peau en guise de vêtements. Tu ne passera pas inaperçu en te promenant nu surtout avec un corps aussi... Comment dire attirant." Puis je lui souris en mimant le geste d'enfiler le peignoir. Il le prend et moi, je file à la cuisine chercher les poissons que je ramène à lui ensuite dans une grande assiette que je pose face à lui sur une table.
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