Je suis assise sur un fauteuil en cuir, les jambes croisés, le visage en partie masqué par un filet en dentelle, accrocher à un jolie chapeau noir. Vêtue d'une jolie robe noir typique des années 50, les mains couverte par des gants en dentelle. Également noir. Dans la mains gauche, une cigarette se consume lentement, tandis que dans la mains droite, je fais tournée de manière précise un 44 magnum. Chargé. Le calme de la maison est percé par le mouvement incessant du pendule et des plaintes de mon contrat, bâillonner., pied et poing lier, dans le dos., que je fixe avec intérêt. Je sors une photo, une photo morbide, d'une femme dénudée, morte, d'ignoble marque sur le corps. Je la prends en mains, la montrant à mon client et apporte ma cigarette à ma bouche pour fumer un peut.
- Molly Del Fayer, 31 ans.
Je lance la photo au pied de l'homme, qui la regarde avec indifférence, avant de retourner son regard sur moi, plein de haine. Je sors une seconde photo. Encore une femme nu, une terrible entaille à la gorge, pleine de sang.
- Kathy Brown, 27 ans.
Je lance la photo, comme la première, au pied de l'homme. Il la regarde également, et me fixe avec encore plus de haine qu'avant. Je sors une troisième et dernière photo. Une femme, couverte d'une couverture, vivante, mais salement amoché.
- Barbara Langford. 25 ans. Ma cliente.
Je lance la photo, avant de finir ma cigarette et de lancer aussi ma cigarette au pied de l'homme, je charge mon arme, sans détourner mon regard de l'homme.
- Trois victimes. Toutes violées. Le corps mutilé. Seule Barbara à échapper à la mort, c'est elle qui m'a demander de régler votre compte... La police n'est, semble-t-il, pas assez douée pour cela. Ou plutôt, trop tendre.
Je me lève et fais quelques pas vers l'homme. Je m'agenouille devant lui, le fixant dans les yeux, comme pour le défier du regard.
- Vous avez peut être échapper à la sentence lors du procès. Mais sachez qu'avec moi, ça ne sera pas le cas.
En effet, mon contrat, Monsieur Walter, a réussi à convaincre les jurés de son innocence. Résultat, mademoiselle Langford, mademoiselle Brown et mademoiselle Del Fayer n'ont pas eu justice. Mademoiselle Langford est venu me voir, désespérée, me promettant tout l'argent que pourrais lui demander. Rien ne lui semblait assez cher pour voir cet homme mourir. J'avais droit à l'exécution que je le souhaitais, qu'importe le temps qu'il mettrait à mourir, il devait souffrir, et ne plus revoir le soleil se lever. Monsieur Walter devait mourir. Je ne comprenais que trop la souffrance de mademoiselle Langford. Et, même si je n'ai pas vus les esprits de mademoiselle Brown et mademoiselle Del Fayer, je suis sûr qu'elles me seront reconnaissante de les avoir venger.
Je me relève, visant le monstre avec mon arme, presse la détente. La balle atteint sa jambe. Je ne voulais pas le tuer, pas tous de suite en tous cas. Il devait souffrir. Il hurla, mais son cri était étouffer par le tissus sur sa bouche.
- Oh, je vous ai fais mal ? Désolé. Estimez vous heureux que je vous fasse pas ce que vous avez fais a ces trois pauvres femmes.
Je marque un temps de pose, redressant mon avant bras contre moi, levant la tête vers le plafond, l'air pensive.
- Oh... Mais en voilà une bonne idée... Vous allez vivre la même chose que ses trois pauvres femmes...
Je fais demi-tour, retournant à mon sac, sortant mon téléphone sur lequel je pianote rapidement, appuyant sur l'un de mes contactes professionnels. ''Ézéchiel Draven''. J'appuie sur le contacte. Le téléphone sonne trois fois avant qu'il décroche.
- Ici le Dahlia Noir. Tu va avoir du travail se soir... Viens vite, je te communique l'adresse par SMS, prend soin d'effacer tout messages suspect quand tu n'en n'aura plus besoin...
Je raccroche. Lance mon téléphone sur le fauteuil. Je me retourne vers monsieur Walter, un couteau à la main.
- A nous deux...
J'espère avoir finis quand Ézéchiel arrivera. Il serait malvenu de ma part de devoir achever ma victime devant ses yeux. Je devrais avoir le temps de faire subir à mon cher violeur tueur ce qu'il a fait subir à ses pauvres victimes...
lumos maxima
Ézéchiel Draven
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☽ Crédits : Morgana (moi)
☽ Paroles Échangées : 2854
☽ Age : 53
☽ Profession : Nettoyeur de scènes de crimes surnaturelles et également de la police de L.A
Mr propre, Mr Propre c'est pour mieux tout faire briller !
Dans mon job il y a deux choses qu'il faut savoir : 1 ne jamais au grand jamais espérer rentrer propre chez soit et petit 2, le plus sale qui soit ne se voit pas toujours ! Parfois, le sang et les boyaux sont plus propre que certains esprits qui font appel à moi. En disant esprits, je ne juge nullement nos amis non mort, mais plus la généralité des esprits humains et surnaturels que je croise à longueur de temps et qui font appel à mes services. Debout face à la montagne de paperasse qui me fait face, je soupire alors que allongé à coté de la cheminée mon cher Aerys se prélasse telle le cabot feignant qu'il est ! Parfois, moi aussi j'aimerais être un loup comme lui et n'avoir d'autre soucis que de dormir, bouffer et s'abriter quand il le souhaite au creux du tatouage magique qui lui sert de demeure lorsque les endroits où je vais ne sont pas approprier pour apporter un loup avec moi. Par l'enfer qu'on me délivre de mon calvaire ! C'est alors que mes pensée divagues une fois de plus que mon téléphone sonne. Une scène de nettoyage surnaturelle m'attend dans les tréfonds de L.A ! Cette chère Lizzy me donne une fois de plus l'occasion de m'évader ! Vous allez à présent apprendre la troisième règle de mon job et celle-ci est vraiment la plus utile d'entre toute. Déléguer ! Je bondis alors instantanément de ma chaise, je passe la tête par la porte et je lance à ma secrétaire assise à son bureau : "Clarissa chérie je vous laisse la paperasse le travail m'appel !" Je me tire ensuite en vitesse alors que les cris et les jurons de ma secrétaire me parviennent. Dieu qu'il est bon d'être le boss n'est-ce pas ?
Aerys sur mes talons, je texte mon équipe pour qu'ils me rejoignent à l'adresse indiquer par cette chère Lizzy et me voilà sur la route prêt pour de l'action ! Une fois sur les lieux, Aerys m'écrase pour sortir de la voiture et se poste ensuite avec rapidité face à la porte de la maison et renifle l'air autour de lui. Sa pensée me parvient alors distinctement "Peur, haine, sang !" Je m'approche alors de lui et caresse avec affection son pelage sombre en entrant dans la maison sans même m'annoncer après tout je suis attendu.
Dés mon entrée, je me rends compte que les festivité ne semblent pas encore êtres terminée. Un homme attaché et qui a visiblement été torturé me fixe d'un air paniqué. Il essaye tant bien que mal de parler à travers son bâillon et même si je ne comprends pas ses mots, je me doute bien qu'il désire mon aide et je lui lance alors : "Désolé mon gars, mais ma part du job se fera après la sienne. " Ajout-ai je en montrant Lizzy de la main. "Ma chère si tu pouvais faire ça vite que je puisse faire mon job et rentrer." Mon familier s'avance alors vers l'homme et plante son regard jaune dans le siens. Ses pensées me parviennent à nouveau : "Mauvais !" "Oui, très mauvais mon ami." Puis il revient vers moi et attend calmement la suite des opérations. Je me tourne ensuite à nouveau vers l'homme attaché et je m'allume calmement une clope.
nightgaunt
Dernière édition par Ézéchiel Draven le Mer 19 Déc 2018 - 19:27, édité 1 fois
J'entendis la porte d'entrer, grinçant dans un cri de désespoir, comme si la maison elle-même était effrayer. Je fis un large sourire, une lame ensanglantée dans les mains.
- Tiens, nous avons de la visite
Je tourna légèrement la tête, voyant un loup au pelage sombre entrer, je suis rassurée, c’est mon cher Ézéchiel. Mince, je n’ai pas vraiment finis de m’occuper de mon contrat. Quel manque de manière ! Le loup s’approche de monsieur Walter, plantant son regard sur l’homme. Ézéchiel demande à ce que je me presse, souhaitant démarrer son job pour pouvoir rentrer chez lui. Mais moi, je voulais faire duré le plaisir, cet ordure devait souffrir et, bien que son corps était couvert d’entaille et qu’une marre de sang commençait à se former, il n’avait pas assez souffert. Il n’avait pas assez ressenti toute la peur, toute la peur de ses victimes.
- Désolé, cher Ézéchiel, sincèrement. Mais tu risque de rentrer assez tard ce soir. Promis, j’essayerais de faire vite…
Je m’approcha de M.Walter, l’air sinistre. Serrant la lame entre mes mains couvert d’une délicate dentelle noir. De ma mains libre, je replaça mon dahlia blanc, accrocher à mon élégant chapeau. J’attrapai d’un coup mon client par les cheveux, tirant sa tête vers l’arrière, plaçant sa lame juste sous sa gorge.
- Vous avez égorgé mademoiselle Kathy Brown, l’entaille était assez profonde pour faire pleuvoir le sang, mais pas assez pour la tuer sur le coup…
Je marqua un temps d’arrêt, moi aussi, on m’avait blesser, moi aussi, je m’étais lentement vidée de mon sang, sans pouvoir mourir. Alors je comprenais parfaitement le désespoir que devait ressentir mademoiselle Brown. Et je savais que dans ses moments là, la haine et la vengeance son nos seules amies. J’étais devenu un esprit vengeur. Je ne voulais pas que Mademoiselle Del Fayer et Mademoiselle Brown le deviennent elles aussi, et je devais apaiser les tourments de Mademoiselle Langford. Voilà ma mission aujourd’hui. Sa, et faire payer par le sang tous ses ordures qui peuple la terre.
- La pauvre demoiselle c’est noyer dans son propre sang… Voyons voir combien de temps vous tiendrez avec du sang dans vos poumons ?
M.Walter se mit à crier, tentant de retirer, en vain, son bâillon. Je fis glisser la lame ensanglanter sur sa gorge. Sa chaire se déchira sous la pression de la lame, sectionnant assez sa chair et ses veines, mais suffisamment peut pour par qu’il ne meurt tout de suite. Dès lors, son cri se changea en un raclement ignoble, étouffer par le sang qui commençait à couler dans ses poumons
Je fis demi-tour, lâchant la lame sur le sol, marchant calmement vers le fauteuil pour m’y asseoir, allumant une cigarette en regardant l’homme agoniser, tantôt me regardant avec peur et haine, tantôt regardant Ézéchiel d’un air suppliant. Je souris en ricanant.
- Ne rêve pas, il ne t’aidera pas. Mon cher ami est la pour nettoyer toutes la saleté que mes affaires ont provoqué.
J’inspire un peut de ma cigarette, puis, tourne la tête vers Ézéchiel, et son loup attendant sagement à coté de lui.
- Tu as fais vite. Navrée que tu sois obligé d’assisté à cela. Ce type est une véritable enflure. J’espère qu’il brûlera en enfer.
La dite enflure était en train de viré au blanc, s’écroulant sur le sol alors qu’il commençait à se noyer, des jets de sang immonde jaillissaient de tant à autre, de sa blessure et de sa bouche, dans un bruit immonde. Derrière lui, une flac de sang se formait, au niveau de son dos et de son postérieur, signe des atrocités que je lui avais fais subir. Je croissais les jambes en fumant, savourant l’agonie de ma pauvre petite victime.
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Ézéchiel Draven
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Mr propre, Mr Propre c'est pour mieux tout faire briller !
Ouai, ouais ! Bon apparemment comme je l'avais senti je vais surement rentrer tard ce soir à la maison et ma chère Elizabeth ne fait que confirmer mes pensées. "Bah, je rajouterais cela à mes honoraires ! On trouve toujours le moyen de se faire payer dans ma boulot tu le sais. Dois-je appeler mon équipe et leur dire de repasser un peu plus tard ? J'imagine qu'avoir des spectateurs n'est pas vraiment le but de ton petit jeu ?" Ouais, je sais pertinemment ce que fais mon petit esprit adoré, elle prodigue la justice à sa façon et personnellement je n'ai rien à dire la dessus. Mon équipe sait se montrer discrète, mais je pense que certains d'entre eux préfèrent n'avoir à faire qu'aux cadavres. Remarque que je les comprends au moins les corps eux ne bavardent pas et le travail est d'ordinaire assez vite terminer.
Ma clope au bec, j'admire à présent Lizzy. D'un geste de la main elle remet son Dahlia blanc en place sur l'élégant chapeau qui recouvre sa tête. Puis avec violence, sa petite main attrape les cheveux de sa victime ou plutôt du bourreau et l'oblige à pencher sa tête en arrière alors que la lame de son couteau s'appuie sur la gorge de l'homme attaché. Puis sa voix retentit comme un couperet prononçant le nom d'une victime alors que le couteau entaille sa gorge mais sans pour autant le faire assez profondément pour le tuer. A l'allure ou ça va la scène va être un véritable bain de sang. Quelle cruauté de la part de Lizzy mais quand on connait l'histoire la demoiselle on ne peut pas lui en vouloir. Vous connaissez sans doute le Dahlia Noire ? Et bien c'est elle ! Ou plutôt c'est son esprit à l'intérieur d'un corps humain des plus séduisant.
Puis la belle se dirige calmement vers un des fauteuils faisant face à l'homme. Elle y prend ensuite place en s'allumant une clope. L'homme continu à me fixer de son regard suppliant et Lizzy lui lance alors que je ne l'aiderai pas mais que j'étais là pour nettoyer après elle les petites cochonnerie que son sang laissera un peu partout dans le salon. Je lui fait alors coucou de la main en continuant de fumer ma clope alors qu'Aerys baille bruyamment à coté de moi. Roh ! Il a passé toute la journée à ronfler et le voilà qui baille encore !
Le sang s'écoule du sale type alors que Lyzzy me dit que je suis arrivée bien vite. "Ben que veux tu on est pro ou on ne l'est pas. Et puis pour rien au monde je n'aurais manqué ton oeuvre. Je dois dire que tu as toujours l'art et la manière de faire les choses." Je vais surement pas lui dire que je suis arrivée si vite pour échapper à ma paperasse non mais ! Ah voilà, le corps de l'homme change de couleurs sous mes yeux il passe d'un rouge vif à un rose pale, puis enfin à un blanc cadavérique avant d'enfin s'écrouler en avant ! "Bien, je crois que je vais pouvoir me mettre au travail. " Dis je alors que mon équipe arrive sur les lieux.
Tel un chef d'orchestres macabres, je donne mes ordres à tous et puis j’entraîne tranquillement ma chère Lizzy dans un petit salon attenant. Nous prenons place sur des fauteuils l'un en face de l'autre. Je lui souris puis je prends la parole. "On ne peut pas dire que tu fasse dans la dentelle toi. Tu auras au moins le mérite de m'avoir fait passer un moment plutôt distrayant." Puis j’aperçois un bar au bout de la salle. Je me lève et je décide de nous servir un verre. "Alors dit moi tu veux boire quoi ? Pour moi ça sera un bourbon bien corsé et toi ?"
Alors que ma cher victime vient de lancer son dernier souffle et que le sang se repend de plus en plus dans la pièce, tachant chaque mur, chaque planche du parquet et chaque meuble, l'équipe d’Ézéchiel arrive.
- Pile à l'heure, comme toujours, fis-je en lançant un sourire en coin à mon cher Ézéchiel
Ce dernier donne ses ordres et m’entraîne dans une autre pièce, un salon. Je m'assoie sur un fauteuils en cuir dans une élégance non dissimulée, croisant mes jambes de manière chic, n'oublions pas que j'ai vécu dans les belles années de Los Angeles, j'ai un certain savoir vivre ! A la manière des plus grandes célébrités de mon temps. Ezechiel complimente ''mon œuvre'', me disant que j'avais définitivement du talent dans se domaine.
- Que veux tu ! Je suis une tueuse, certes, mais cela reste de l'art ! Il serait dommage que les derniers instant de mes victimes soit dénué d'un certain sens du spectacle.
Il se lève et s'avance vers un bar trônant de l'autre coté de la salle, un bar en bois assez raffiné, qui faisait contraste avec tout le reste qui était assez miteux. Il me demande ce que je vais boire et je réponds alors sans l'once d'une hésitation.
- Whisky, s'il te plaît.
J'entends les verres claqués entre eux et les bouteilles s'ouvrir, les liquides se déversant, l'ambiance était agréable, il faut dire qu'après un spectacle de mort, il était bon de se repose un peut. Ma cible éliminé, il faudra que je retourne voir Mademoiselle Langford afin de lui dire que M.Walter est éliminé et que plus personne n'entendra parler de lui, Ézéchiel fait toujours un excellent travail, alors je ne m'en fais guère de trop. Je n'ai jamais eu de problème avec lui, lui et son équipe sont très professionnel et il ne me pose jamais de question. Tout ce que j'aime chez un professionnel de ce genre : qualité, discrétion et surtout qui ne pose pas trop de question.
- Concernant le paiement, ne t'en fais pas, tout est prévu.
Je sors quelques billets de ma poche, les comptant rapidement alors que je finis de fumé la cigarette que j'avais commencé. Je les poses sur la table basse entre nos deux fauteuils.
- J'espère que cela te convient. Sinon, comme d'habitude, aucune trace du corps, de ce type où même d'un quelconque lien avec moi. Mais je te fais confiance, il ne devrait pas y avoir de soucis.
J'inspire un coup ma cigarette.
- N'es ce pas ?
Ah ! Voila mon verre, je l'attrape avec ma mains libre et bois une gorgé.
lumos maxima
Ézéchiel Draven
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Mr propre, Mr Propre c'est pour mieux tout faire briller !
Quel élégance naturel ! Comme le disent souvent les vampires, on est à tout jamais marqué par l'époque qui nous a vue naître. Quand on regarde les femmes d'aujourd'hui on se rend bien compte que les bonnes manières, l'élégance et la bonne éducation sont des choses qui se perdent et pas seulement chez les femmes. Elizabeth est à tout jamais marqué par son époque et je ne pense pas que cela disparaîtra avec le temps. Une tueuse certes, mais qui conservent un certains art et un savoir faire ! Tout cela me fait sourire. Non pas que la mort de cet homme soit une chose réjouissante, bien qu'en un sans ça le soit, mais car la vision qu'en a Elizabeth me plait. Au fond ses motivations sont simples claire et précises. Elle va droit au but dans la mission vengeresse qui est la sienne. Si il y a une chose qu'on peut reconnaître aux esprits, c'est leur constance. "C'est peut être ce qui me fascine le plus dans ce que tu fais, ce coté théâtrale que tu donne à la mort."
Alors que nous sommes à présent assis et seulement tout les deux, Lizzy sort une liasse billets, elle compte raidement et les pose ensuite face à moi. Inutile que je recompte, je sais très bien qu'elle ne me volera pas. Je prends donc les billets et je les range dans la poche intérieur de ma veste. Je souris à nouveau à ses paroles et je lui réponds : "Ne t'en fais pas, celui ci va être offert à un nécromanciens. Crois moi ma chère il n'a pas fini de souffrir ! Même la mort ne sera pas une délivrance pour lui. Le nécroman en question ne fais pas dans la tendresse et quand je lui ai dit le genre de raclure il allait avoir il semblait en jubiler d'avance ! Ce corps ne va pas réapparaître de ci-tôt et si c'était le cas, il serait méconnaissable." Si je ne savais pas quel raclure infect était ce type, j'aurais presque pitié de lui.
Je tire ensuite sur ma clope et j'ajoute : "Non aucun soucis ma belle ! Crois moi, je connais mon boulot et puis quel intérêt aurais-je à mal le faire ? Tu es une de mes meilleure cliente et de nos jours ils se comptent sur les doigts de la main ! Alors je compte bien tout faire pour conserver l'une si ce n'est pas la meilleure de toutes mes clientes." Je sirote ensuite tranquillement mon verre pendent que mon équipe nettoie. Aerys semble lui aussi apaiser. Le loup se sent même tellement bien qu'il pose avec affection sa tête sur les jambes de Lizzy. "Il semble t'apprécier. C'est un très bon baromètre. Si il aime une personne, je sais que je peux avoir toute confiance en elle." Les familiers ont beaucoup d'instinct. On peut tromper un sorcier, mais son familier lui sait toujours la vérité.
Je suis presque flattée que se chère Ézéchiel pense autant de bien de moi et mon travail. Il faut dire que ses derniers temps, je lui donne beaucoup de travail. Beaucoup recherche la vengeance en se moment. Le plus ironique dans toute cette histoire, c'est que je n'ai jamais pus me venger de ce que l'ont m'a fait. Le feu de la haine qui brûle en moi n'a fait que grandir, a tel point que j'ignore si même me venger de ce que l'ont m'a fait pourrait m'apporter un quelconque repos désormais... Je suis un esprit vengeur. Et ceux, certainement pour le reste de mon éternité.
Ézéchiel rassure mes penser. Un nécromancien ? Intéressant. En effet, une punition bien douloureuse...
- La mort n'est une délivrance pour personne, mon cher. Il y a ceux qui finissent brûlé en Enfer, et ceux qui ne deviennent plus que l'ombre d'eux même, des résidus de haine et de tristesse, à errer dans les ténèbres de l'Autre-Monde.
J'apporte mon verre à mes lèvres écarlates, se dernier laisse une petite trace sur le verre transparent. Je repose le vers sur la table en reprenant mon discours.
-Et puis il y a ceux qui finissent entre les mains d'un Nécromancien.
Je ne pus m’empêcher de lâcher un sourire de satisfaction. Je me demande d'ailleurs comment à finis celui qui m'a assassiner. Enfin... faut-il que je sois sur qu'il soit humain. Et si c'était le cas, il est sûrement mort aujourd'hui. Est-il aller en enfer ? Brûle-t-il pour l'éternité dans l'Infernal pour ce qu'il m'a fait ? Ou bien, erre-t-il dans les ténèbres de l'Autre-Cotés ? Perdant toute humanité, en supposant qu'il lui en reste après mon meurtre, dépouiller de tout sentiments positif et d'identité ? J'ai errer la bas, et bien que je n'y sois rester que peut de temps, j'ai l'impression d'y avoir errer pendant des siècles. Les ténèbres, la haine et la peine sont les seules compagnies que l'ont y trouve. On y perd son identité, tous sentiments, a part les négatifs, ont en vient à détester la vie et ceux qui la possède encore. Je vais être honnête, j'ignore pourquoi et comment j'en suis sortie, mais j'en suis bien heureuse. Je pense que j'aurais finis pire que ce que je suis devenue si jamais j'y étais rester.
Ézéchiel m'assure que son travail sera bien fait. De toute façon, il n'a pas de réel intérêt a me nuire, mais il faut toujours être sur ses gardes dans se genre de métier. Je lui souris, satisfaite.
- Bien. Désolée mais... comprends moi, il n'est pas évident de trouver des gens dignes de confiance. Surtout de nos jours !
Le familier d’Ézéchiel vient poser sa tête sur mes jambes. Je lui renvois un sourire affectueux avant de caresser gentiment sa tête. Je n'y connais pas grand chose sur les familier, et encore moins sur les sorciers en général, même si j'en ai déjà fréquenté. Avant Ézéchiel, j'entends. Se dernier me dis que son familier semble m'apprécier et qu'il peut avoir confiance en lui pour se fier à une personne. Je me demande si il à perçu toute la haine et la peine qui ronge mon être, la violence qui m'a marquer à jamais, même après ma mort. Es-ce seulement possible qu'il ai compris ce que j'étais ?
- Faire confiance à quelqu'un comme moi ?
Je lâcha un petite rire.
- En voilà une drôle d'idée
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Ézéchiel Draven
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Mr propre, Mr Propre c'est pour mieux tout faire briller !
Dans mon métier je rencontre toutes sortes de gens qui tuent pour différentes raisons. Certains sont justes des créatures surnaturelles ayant agis sur le pulsion de leur instincts et d'autres sont bien plus abjects ! Lizzy fait partie d'une autre catégories de gens les vengeurs ! Ils sont généralement assez vite satisfait une fois qu'ils ont eux la proies qu'ils cherchaient, mais Lizz elle n'aura jamais la sienne hélas... Au fond c’est sur triste. Mais jamais je ne lui reprocherais ce qu'elle fait. De toute façon c'est de la vermine, des personnes pires qu'elle quelle tue et qui ne manqueront surement pas à ce monde ! Qui je suis pour juger de l’importance d'une vie ? Un homme qui a trop vue de cruauté pour ne pas choisir son camp ! Sa vision de la mort est réaliste à son niveau peut-être, mais c'est peut-être naïf, mais moi je préfère croire au paradis. Peut-être car j'espère au fond de moi que ma femme ait trouvé la paix...
Personne n'a jamais été déçu de mes prestation et Lizz ne le sera pas non plus. Elle semble surprise que mon loup lui fasse confiance. Et ça e fait rire. Je crois qu'elle ne comprends pas ce que sont les familiers. "Les familiers ne jugent pas comme les humains le font. Au fond il juge ton âme bien moins durement que tu ne te juge toi même. C'est la sensibilité des Gobelins ça. Seuls les humains voit la vie en noire ou en blanc. Les Gobelins eux en voient toutes les nuances et encore plus quand ils choisissent de devenir des familiers et d'offrir toute leur vie et leur essence à un sorcier."
Les esprits sont d'un cynisme. J'avais oublié ce détail ! "Tu es d'un cynisme ma chère. C'est la mort qui fait ça ? Où l'errance peut-être ? N'as tu jamais essayé de trouver la paix autrement que par le meurtre ?" C'est une question, nullement un jugement. Je respecte ses choix, je suis juste curieux et j'aimerai comprendre ce qui pousse un esprit à errer sans discontinuité. Certains errent des siècles, parfois plus. J'avoue que je me suis toujours poser la question du pourquoi ? Il doit bien y avoir un moyen pour chacun d'eux de trouver la paix. Il suffit peut être de le trouver pour régler le problème d'errance et leur permettre de trouver la paix ? C'est ce que pense certains médiums en tout cas.
Je ne suis pas très au faits de tout ce qui touche à la magie.. Les Familiers non plus. Et bien, si celui ci m'accorde sa confiance, qu'il en soit ainsi. Mais je sens ma gorge se serrer quand Ézéchiel me demande si je ne pourrais pas trouver la paix d'une autre manière que le meurtre. Je me lève et me dirige vers la fenêtre donnant sur la ruelle d'un noir absolue.
Je baisse la tête, et je repense à toute ses choses que j'ai vécu avant ma mort, ses tortures affreuse et cette mort lente et douloureuse. Même après ma mort, celui qui m'avait tué s'était acharner sur moi, taillant un sourire affreux sur mon visage, violant ma dépouille, vidant mon corps de tout son sang et me découpant en deux comme un vulgaire mannequin de magasin. J'ai errer durant un long moment dans cette macabre forêt qu'est le monde des morts, impossible de savoir combien de temps exactement... Le temps n'existe pas la bas, il n'y a que vos souvenirs, vos rêves et vos espoirs arracher, tournant en boucle comme un vieux vinyle qu'on peut arrêter, et qui viendrait vous torturer avec tous ce que vous ne pourrez plus jamais avoir...
Mais peut à peut, la peine et la tristesse que je ressenti se changea en haine, une haine profonde qui brûlait en moi. Ceux qui, comme moi, son mort dans la violence sont affecté éternellement par elle. Je suis devenu un esprit vengeur à se moment la... Je n'aurais la paix qu'en tuant celui qui m'a fait cela... Mais il est sûrement mort depuis longtemps... Je me demande ce que j'ai pus faire de mal dans ma vie pour mérité un tel sort.
''Il n'y a pas de paix pour moi. Plus maintenant. Le meurtre est la seule chose qui puisse ne serais-se qu'un peut m’apaiser... Comme un vampire ne peut jamais satisfaire totalement sa soif...''
Alors que ma colère monte, les lumières commence a grésiller avec que l'une des ampoules du lustre se mette a exploser.
''Désolée... J'ai tendance à m'emporter lorsque je repense à... tout sa... Celui qui m'a condamné à vivre ainsi est certainement mort depuis longtemps... Et le monde des morts n'apporte aucune paix... aucun repos... il nous change... nous torture et beaucoup en oublie jusqu'à leur propre existence. Le temps n'y existe pas, alors on y perd vite la tête. Mais malgré tout, j'ai réussi à en sortir mais... C'était trop tard''
Je me retourne vers Ézéchiel, affichant un sourire forcé.
''Mais j'accepte mon sort, quel qu'il soit, de toute façon, il n'y à pas grand chose d'autre que je puisse faire, maintenant''
Aucun vivant ne pourra jamais vraiment comprendre les souffrances qu'un esprit errant doit supporter. L’errance n'est pas un choix, c'est une obligation. Quelque chose qui, au fond de nous, ne peut avoir la paix...
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Ézéchiel Draven
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Mr propre, Mr Propre c'est pour mieux tout faire briller !
Je ne suis pas étonné que Lizzy soit en colère. J’imagine bien que ce n'est pas ma question en elle même qui la fâche mais bien toute la situation. Tout d'abord son meurtre d'une atrocité sans nom, puis le fait qu'elle ne sache pas qui en est l'auteur a surement dû amplifié sa haine. Il n'y a nul paix qui existe pour elle à présent me dit elle alors que les lumière vacillent tout autour de nous. Je trouve cette constatation triste à en pleurer. Mais j'imagine qu'il est plus temps des larmes pour elle depuis bien longtemps... Mon cœur n'en est pas moins triste pour elle pour autant. Je suis un sorcier, je fais le métier que je fais et je pense être une personne plutôt endurcie par la vie et pourtant oui, je suis triste pour cette esprit à mes cotés. Aerys lève alors tête et la penche sur le coté comme attente de ce qu'il va se passer. La situation le trouble lui aussi je le sens. Ou alors est-ce simplement dû au fait qu'il sent ma peine ? Les familiers sont sensibles aux changements d'humeur de leur sorcier.
Lizzy s'excuse ensuite de son emportement dont bien sur je ne lui tient pas rigueur. Puis elle ajoute qu'elle accepte son sort un sourire forcé s'affichant à présent sur ses traits doux et fins. "Je voudrais sincèrement t'aider. Crois moi si je le pouvais je le ferais. Comme tu le pense, ton tueur doit surement être mort... Peut-être qu'un médium pourrait entrer en contact avec celui qui t'a tué ? Je propose cette idée non pas pour taper la causette avec cette abject personne, mais pour être fixé sur son identité ? Et être sur d'autre chose..." Je prends un temps de pause avant de reprendre : "Je pense qu'il serait utile de s'assurer que ce monstre qui t'a tué était bien humain. Car vue le caractère assez sanglant de ton assassinat, on peut avoir des doutes raisonnable sur son humanité."
J'ignore si Lizzy a envisagée elle même cette option. Je suppose que depuis le temps elle dû envisager toutes les options et si ce n’est pas le cas, elle doit le faire. Tout le monde mérite la paix de l'âme surtout après avoir vécue autant de souffrance. Proposé ce genre d'aide n'est tellement pas mon genre, mais le sort de Lizzy me touche et même si sa paix d'âme me fait perdre une bonne cliente, elle y a droit elle aussi !
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