Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
avatar
Invité
Invité

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] EmptyMar 28 Jan 2020 - 20:52

Eve Cartier avait des putains d’ennui avec la justice. Amarante avait reçu l’avis de comparution et son assistant lui avait directement amené alors qu’elle dormait. La femme avait râlé comme un vieil ours d’être sorti de son lit après une soirée bien arrosée en solitaire à mater des dramas romantiques. Son employé voulait-il être virée avait-elle gueulée dans son habituelle exécrable humeur matinale que seul ses proches ou ceux qu’elle payait pouvait voir ? Le pauvre avait balbutié que c’était vraiment urgent, Madame Damaris Boet avait donné son feu vert. Au nom de sa descendante Amarante avait surgit de sous ses draps toute décoiffées avec des cernes de mascara non démaquillés sous les yeux, elle avait saisi la lettre avec un bref merci et l’avait ouverte précipitamment. Bordel de merde ! avait-elle juré avant de grogner de la laisser tranquille. Ça sentait le sapin ! Si elle ne se débrouillait pas pour sauver la peau du cul d’Eve Cartier, elle allait devoir renoncer à son enveloppe car bien sûre il n’était pas question qu’elle termine en prison.
Or trouver un corps à son goût était tout simplement de plus en plus compliqué, Amarante était exigeante, elle voulait la jeunesse, la beauté, des mains de pianistes, un corps sportif sans soucis avec la justice, sans famille vivante et proche insistant et si elle pouvait aussi avoir de l’argent en bonus elle ne crachait pas dessus. Bien sûre son corps ne devait pas être populaire également, elle vivait à LA et n’avait aucune envie d’avoir des paparazzis à ses trousses, en dehors d’être chiant, c’était aussi une question de sécurité. Sa vie n’était que magie et ça les humains ne devaient pas le savoir, elle versait aussi dans pas mal d’affaire louche et ça personne ne devait le découvrir tout court. Dernier critère pas des moindres, Amarante ne volait pas la vie des gens gratuitement, elle cherchait généralement des criminelles effroyables que personne n’arrêtait par manque de preuve, des personnes en état de mort cérébrale ou dernier cas de figure des personnes folles en état de détresse émotionnelle intense enfermé dans des psychoses, dont la vie n’était plus que souffrance et qui ne souhaitait plus que la mort. Bref trouver des corps répondant à toutes ses exigences, n’était pas si simple à l’air numérique ou tout se savait et ou rester en contact avec ses proches n’avait jamais été aussi facile.
Amarante ne craignait cependant pas trop la prison, elle connaissait les meilleurs avocats du pays et avait assez d’argent pour payer n’importe qui après tout. La première personne à qui elle pensa fut Stefano Kray, un vampire avec lui elle n’aurait pas besoin de cacher des éléments du dossier et ne mentons pas malgré toutes ses excentricités il était scandaleusement doué. Elle l’admirait, Amarante n’était pas du genre à craindre les personnages instables. Après un appel, elle apprit qu’il avait arrêté son boulot, néanmoins Amarante avait insisté, lourdement insisté. Faire ça elle était habituée, pour garder une place dans les manigances des grands elle était obligée de se montrer conciliante, insistante et parfois elle se devait même d’être hypocrite en caressant dans le sens du poil même si cela lui donnait la nausée. Auprès des plus vénaux elle avait même parfois signé de gros chèque, tous les moyens était bon, elle était retorse et prête à tout. Ce n’était cependant pas pour le pouvoir ou la gloire qu’elle faisait ça, mais pour sa famille et sa liberté d’action. Amarante était pragmatique et paranoïaque, pas narcissique et mégalomane.
Il faisait bon à LA aujourd’hui, elle portait donc une robe à fleur courte pastelle en mousseline légère et des sandales argentée à talon. Un taxi l’avait déposer sur place et elle avait sorti de son sac à main rose Gucci un gros billet pour payer la course.  Elle n’était jamais entrée au Moonlight, elle ne buvait pas de sang et ne donnait pas la sien pas même à la personne qu’elle avait épousée et puis de toute façon son sang était imbuvable elle buvait de la verveine. Elle pénétra les lieux et son regard glissa sur la pièce scrutatrice. Pour dire vrai elle avait l’impression d’être une friandise, ce n’était pas agréable, mais cela de l’empêcha pas de sourire poliment à ceux qui la remarquait. Son image faussement innocente, détonnait avec l’ambiance. Elle se fraya un chemin jusqu’au bar.

- Bonjour. J’ai rdv avec Stefano Kay, Madame Byron, expliqua-t-elle.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Re: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] EmptySam 22 Fév 2020 - 2:26

Stefano n’était plus un avocat véreux depuis l’épidémie qui avait frappé les vampires de la cité des anges. Il avait quitté ce travail pour un meilleur emploi qui ne lui demandait pas trop d’investissements de sa part. Il avait ouvert le « Moonlight Club » pour que tous les vampires puissent venir afin d’échanger des idées et de se sentir intégré dans une communauté. Il était vrai que les vampires étaient des êtres solitaires à l’instar des loups-garous et autres créatures surnaturelles. Les vampires étaient comme des chats, venant se frotter contre les jambes des autres afin d’obtenir ce qu’ils souhaitent sinon ils restaient indépendants et solitaires. Stefano connaissait tout des vampires, étant le plus vieux vampire de Los Angeles pour le moment. Il les connaissait par cœur, même. Ils ne différenciaient pas vraiment des êtres humains et tout dépendait des caractères de certains. Le monde vampirique était différent en rapport des autres espèces. Certains formaient des clans au sein même de son club qui voulait l’intégration, former une certaine communauté assez solide pour se repose en cas de coup dur. L’enfant du millénaire n’aimait pas faire de la politique mais il arrivait à se monter à être pragmatique pour certaines choses. En cette journée ensoleillée, Stefano s’était levé avec un rendez-vous auprès d’une charmante jeune femme nommée Amarante. Une de ses anciennes clientes qui avaient désespérément besoin de lui pour quelques affaires de justices. Elle avait lourdement insisté pour l’avoir. Il aimait l’insistance, cela démontrait de l’ambition pour certains, pour d’autres de la stupidité. Cependant, Amarante était une femme intelligente et comprenait mieux que quiconque les ficelles de la justice et de la politique. C’était de l’ambition derrière son insistance. De plus, Stefano appréciait l’esprit par son raffinement et sa débrouillardise. Tandis qu’il avait refusé à certains anciens clients, Stefano avait accepté pour la belle Amarante.

Vêtu d’un costard impeccable dans un style casual chic, Stefano s’en est allé au Moolight Club tout en emportant avec lui, sa chèvre qui n’avait pas encore de prénom mais qui semblait s’être intégré dans sa vie comme si de rien n’était. Il prit une magnifique Audi R8 Spider rouge, dont le moteur ronronnait comme un jaguar qui s’apprêtait à s’élancer sur sa proie et s’élança dans la ville où le soleil régnait en maître dans le ciel azuré. Quelques nuages blancs aux reflets dorés par l’astre flottaient, menaçant quelque peu les habitants de la ville, d’une pluie à venir. Arrivé dans son club, Stefano commençait à tout entreprendre et donner des ordres pour que les commandes soient faites. Du faux sang, de l’alcool, et de la drogue pour le plaisir de certains vampires. A quoi servait d’être immortel, si certains ne prenaient pas le risque de saisir un incroyable frisson quitte à en perdre la tête. C’était sa manière de pensée. Stefano fit un peu de comptabilité en attendant l’heure de son rendez-vous, prenant de temps en temps des verres de faux sang coupé avec de l’alcool.

« Elle est arrivée, monsieur » Déclara son secrétaire d’un air nonchalant.

Sa voix eut le don de le faire sortir de ses chiffres et de se lever pour rejoindre le hall. Amarante s’y tenait sans aucun doute. Elle avait pris un autre corps qui lui faisait penser à petite poupée mignonne et frêle. Cependant, il avait appris à ne pas juger par les apparences. Descendant les escaliers pour arriver près d’elle, il vint à saisir sa main, embrassant délicatement le dos de celle-ci dans un baisemain expert.

-Amarante, ça fait si longtemps que nous ne sommes pas vus, déclara-t-il avec un sourire chaleureux avant de baisser son sourire pour un regard plus sérieux. J’espère que c’est pour une bonne raison pour que tu me refasses travailler avec ces péquenauds qui se croient meilleurs que tout le monde alors qu’ils sont des ringards qui ont tout coupé sur les grecs sauf pour la partie des femmes égales aux hommes. Nous, au moins, on était intelligent de nous donner les pleins pouvoirs et ne pas en donner aux femmes. Vous êtes trop dangereuses pour en avoir, pires que des gars en somme, et ça se voit durant les soldes, déclara Stefano se perdant complètement dans ses mots, ses phrases comme à son habitude avant de secouer la tête. Je divaguais encore ? Demanda-t-il à Amarante avec un petit sourire en coin.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Re: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] EmptyMar 25 Fév 2020 - 1:08

Le vampire était un sacré numéro et elle le savait très bien, certaine personne ne parvenait pas à le gérer, mais elle était hôtelière, elle avait plus que l’habitude de devoir gérer des clients difficiles et excentriques. Elle était probablement une des personnes les plus diplomates de cette ville, elle devait gérer depuis des générations des leadeurs avec chacun leurs névroses et leurs caprices, pour le moment elle n’en avait étripé aucun, même sir Ypolite Saint-Yves roi des croques, pourtant elle haïssait du plus profond de son cœur sa race. Ainsi quand Stefano débarqua, elle se laissa baiser la main avec un doux sourire poli et son discours qui aurait pu foutre de l’urticaire à la féministe qu’elle était depuis toujours elle l’accueillit avec grâce, elle trouva même la force de répondre un trait d’esprit.

- Je ne fais jamais les soldes, je tiens à mon espace vital.

Puis sincèrement elle était multimilliardaire donc elle n’avait aucune raison de suer dans des magasins pour des réductions, elle achetait tout plein pot et c’étaient les boutiques qui venaient à elle, dans sa maison pour essayer de l’éblouir avec leur création. Ils savaient très bien qu’elle était dépensière, qu’elle achetait trop de vêtement, qu’elle n’en portait même pas le quart et une seule fois grand maximum, après elle donnait à ses proches. Tout était repris avec ses mesures, tout devait lui aller à la perfection, elle avait un style qui détonait, coloré et féminin.

- Vous ne divaguiez pas tout à fait, les américains ont tout pompé aux grecs cela est parfaitement vrai, concéda-t-elle avec sincérité. On ne pouvait pas toujours être en parfait accord avec son interlocuteur, alors il était important de souligner sur quoi on était d’accord. Je suis désolée de vous déranger dans votre retraite. Était-elle vraiment désolée ? Non elle le voulait, mais c’était plus poli de le présenter ainsi. Mon enveloppe actuelle Eve Carter a détourné des fonds destinés à la base à une association de bienfaisance. Vous savez comment je suis pointilleuse dans mes choix d’hôte, je n’ai pas envie de tout recommencer si elle atterrit en prison. Stefano j’ai besoin de vous, faites-moi passer pour une innocente, faites-moi passer pour une sainte. Je ne veux pas que ma réputation soit salie, enfin pas trop, je n’aime pas attirer l’attention, je ne veux pas de journaliste devant chez moi.

Car devant chez elle, c’était à côté du Lux et même s’il était invisible pour les humains, même si un sort détournait l’attention, si des dizaines de gratte papier l’attendaient ils risquaient de remarquer la drôle de clientèle sortant parfois de la maison bourgeoise dont le Lux avait pris l’apparence.

- Elle n’est pas si célèbre, elle était femme de, faisait un peu de yoga sur Instagram, mais ce genre d’affaire ça peut vite s’enflammer. Les jolies femmes coupables ça fait vendre.

Elle le savait, c’était pour ça qu’elle choisissait des jolies femmes pour vendre. Pour le moment son interlocuteur était relativement stable, mais il était capable de l’imprévisible et elle ne pouvait pas se vanter de pouvoir le maitriser.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Re: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] EmptyMar 26 Mai 2020 - 22:41

Les femmes étaient dangereuses. C’était un constat que Stefano s’était fait. Rien à voir avec les religions où ils disaient que la femme était la pécheresse. Non, il s’en fichait de ça. Dans sa religion païenne. Elles avaient un certain pouvoir même si elles n’étaient pas libres comme les hommes mais elles n’étaient pas réduites à des bêtes, quoique, cela dépendait son rang. Cependant, les femmes étaient le sexe faible selon les grecs mais ils étaient beaucoup moins machistes que d’autres religions. Dans sa religion, les dieux les plus farouches et effrayants étaient des déesses. Celles à qui on ne devait pas se frotter, ou se moquer. Aphrodite, l’amour. Athéna, la guerre. Artémis, la chasse. Hestia, celle qui maintenait la vie au foyer, Démeter qui lui donnait la nourriture, la vie. La pire restait Hera, c’était celle qui fallait s’en méfier. Toutes ses déesses démontraient qu’elles étaient farouches et dangereuses. Des badass comme les jeunes diraient à ce jour. Stefano n’était pas machiste, il trouvait que cela faisait parti de leur charme. C’était ça qui rendait les hommes avec les femmes. Cette lueur dangereuse, le farouche mêlé à la grâce et la délicatesse. Le sourire énigmatique qui retenait leur instinct de surgir. Non, les femmes avaient un charme fou qui pourrait mettre le monde à leur pied.

Amarante le savait. Parfois, il divaguait complètement. Les mots, les années se mélangeaient dans sa tête. Les noms aussi. C’était compliqué et pourtant, il tenait bien par rapport à certains. Il se demandait peut-être qu’il devait lâcher prise sur certains souvenirs.

-Dommage, ma douce, ça peut t’entraîner à la survie, si tu veux mon avis. Une femme, la dernière fois, m’a attrapé par l’oreille. Elle me l’a décollé, tout ça, parce que j’avais attrapé un pull au hasard pour ma chèvre, s’enquit-il avec malice.

Il vint à la guider dans un endroit clos, une salle VIP pour mieux discuter affaire. Il ne voulait pas que tout le monde écoute. C’était un petit salon, d’une manière classe, fait dans les règles de l’art pour que tout ressemble aux petits salons des années 20. Stefano eut un sourire fier. Le salon semblait figé dans le temps tout en restant un peu moderne dans les matériaux. Il se tournait vers elle tout en l’écoutant sur son cas. Une affaire simple.

-Ce n’est pas grave, tu sais, je comprends. Tant qu’on met un peu le prix, je suis prêt à reprendre mais pour toi, c’est gratis, déclara-t-il en s’asseyant tout en servant du scotch pour les deux. Ton affaire est simple, je vais appeler le procureur, négocier et tu sortiras comme une sainte. Il me doit un service, ou deux. Cependant, sais-tu où elle a détourné les fonds, le nom de l’association ? Demanda-t-il. Tout au plus, je voudrais savoir ce que tu es prêt à accepter ? Genre donner de l’argent, payer une amende mais je te déconseille, ne le fais pas. Pour eux, cela revient à accepter ton erreur. Faut me laisser faire, de plus, je sais un tas de petits secrets sur le procureur, continua-t-il avec malice tout en faisant tournoyer le sccotch dans le verre en cristal.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Re: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] EmptyLun 8 Juin 2020 - 16:44

- Je paye un dragon pour m’apprendre la survie, crâna Amarante.

Avec une personne excentrique comme Stefano, elle pouvait se permettre d’être un moins lisse et un peu moins parfaite. Les dragons étaient connus pour leur robustesse, leur côté sanglant et leur rareté. L’esprit avait eu beaucoup de chance que Ciàran accepte de l’entrainer, clairement le challenge était nul car jamais elle pourrait dépasser le maitre ni même le mettre à mal. En termes de beauté elle ne faisait pas le poids face à une dragonne, une elfe, une faé ou même une vampire, bref elle avait eu de la chance qu’il s’attache à elle pour une raison qu’elle ignorait encore.

- J’espère que votre chèvre a eu son pull finalement ! rétorqua finalement Amarante avec espièglerie. Oui pourquoi se laisser aller à être légère un peu juste pour une fois. Elle le suivit et lui expliqua la situation rapidement pour qu’il ait une vue d’ensemble de son problème. Ce qu’il lui annonça la rassura, elle eut un sourire sincère. C’est généreux de votre part… Elle ne pensait pas mériter ce cadeau, certes elle avait été mariée à un de ses enfants vampires, mais ils n’étaient pas si proche. Elle envoyait des cadeaux pour son anniversaire et une carte pour le nouvel an, mais elle le faisait avec beaucoup de personne. Elle était presque touchée. Merci, merci beaucoup. Hum juste 100 000 dollars, trois fois rien, si c’était juste une question d’argent j’aurais signé le chèque, je l’aurais multiplié si nécessaire, mais si je peux me passer de m’avouer coupable se serait beaucoup plus délicieux.  Les humains ne savent pas garder leur secret, ça ne m’étonne pas.  Le nom de l’association c’est «Bipolaire solaire », oui c’est bizarre, quand  au compte je ne sais pas, la défense ne sait pas plus. Si j’avais su je me serais débarrassée de ce problème plus facilement. Je vais avoir besoin de boire. Je ne suis pas compliquée je bois de tout.

Bien sûre elle avait ses préférences, mais là elle avait juste besoin d’un peu d’ivresse, elle accepterait même de boire une bière américaine.

- J’aime la décoration, les années 20 je crois qu’elles font partie de mes préférés, les gens ne se prenait pas la tête.

Elle n’avait jamais manqué d’alcool malgré la prohibition et puis aucun humain ne pouvait surveiller le Lux, donc ça n’avait pas beaucoup changé son existence à part que tous les surnaturels avaient du coup complètement abandonnés les échoppes humaines, la période avait été particulièrement lucrative
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty
Message# Sujet: Re: Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]   Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Il faut que j'ai l'air d'une sainte... [PV Stefano]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Lair of the beast [Angelika]
» Say my name you know who I am ~Stefano & Ezechiel~
» Il faut qu'on parle [feat Eden]
» Il faut bien occuper son temps libre. Feat Warren Lopez
» On ne va nulle part en battant des nageoires, il faut des jambes pour sauter et danser (Jedikiah)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Perfume of Blood :: Archives :: ♰ Archives :: Sujets abandonnés-