Stolas était un anonyme souhaitant le rester visiblement, certaine réponses semblait vouer à demeurer sans réponse aujourd'hui tout dû moins. Peut être que l'engouement pour le belle à la différence et à l'extravagance lui faisait attendre bien trop d'un homme simple et heureux dans sa vie de tout les jours. La réaction concernant l'accueil de l'enfant qu'elle était recevait des réactions différente selon les mondes ou l'on en parlait.

Pour mieux comprendre il fallait avoir vécu ses première heures et avoir une idée de ce qu'elle était. Une chose qu'un humain ne pourrait saisir et qu'elle ne pourrait lui dévoiler sans qu'il n'y ait de conséquence. En tant normale la blonde ne parlait pas autant à moins de chercher à endormir son interlocuteur, pourtant dans ce cas précis tout ce qu'elle recherchait était une véritable interaction. Elle voulais le sentir présent à ses côtés qu'il la chasse, réponde à ses avances ou fasse quelques chose d'inattendue.

Le voir se défiler encore et encore finit par faire germer une énième interrogation qu'elle préféra taire cette fois. La poser aurait été la pire erreur à faire cette nuit alors comme si elle n'y avait pas penser elle poursuivit l'air de rien. C'est triste, moi qui aurait aimer la rencontrer. Un lieu avec un tel nom sans son icone. La jeune femme n'était si enivrer que cela même si certain effet était là, une partie de ses actes et de son comportement n'était qu'illusion collant bien au reste.

Tant pour le prendre au mot que pour voir les limites dont ils disposait si elle décidait de revenir réellement entre ces murs. La jeune femme semblait respirer une innocence particulière lorsqu'elle ne cherchait pas à le piéger par ses questions et ses actes parfois à la limite de la convenances. J'ai un rythme de vie assez décaler alors je dors souvent la journée et je pense que demain ne fera pas exception. De toute façon ce n'est pas comme si nous avions mieux à faire.

Oui et non, je...je ne suis qu'en partie responsable...bien malgré moi, mais ce sang sur mes mains...Elle ne le regardait plus vraiment, partager entre une réelle culpabilité et un sentiment d'acte justifier. Elle ne tuait pas pour le plaisir les rares fois ou la mort fut donner volontairement, quand à son alimentation c'était la race dont elle était issue qui avait une alimentation particulière dirons nous. Malgré sa semi confession emprunte la soirée se poursuivit tranquillement.

Elle avait presque l'impression que peut importe ce qu'elle dirait et ferait la soirée resterais d'un calme inquiétant. Et si lorsqu'elle fut sobre elle n'eut voulu que cela chaque goute d'alcool la poussait dans des travers moins doux. Les yeux rivé sur les mains habile du cuisinier elle avait finis par s'en détourner rodant ça et là dans la cuisine. Contrairement à ses quelques frasque de la soirée elle était soudain encore plus calme qu'a ses début dans la cuisine, trop calme compte tenue du personnage.

Lui faisant face elle fut surprise de la douceur avec laquelle son mouvement appuyait la critique incisive dont il lui fit part. Assez pour pour me faire cour ou juste pour pour m'offrir de quoi penser lorsque j'ai la tête vide ? Son regard poser sur lui elle glissa sa main sur le plan de travail près des fruits sans en reprendre pour autant. Finalement lorsqu'il s'en retourna ranger le surplus elle prit le couteau laisser à l'abandon .

La croquemitaine regarda le fil de ce dernier qui semblait aussi tranchant qu'un rasoir. Se piquant le bout du doigt avec la pointe, elle laissa couler le filet de sang le long de son bras jusqu'a ce qu'une goutte s'écrase au sol et que la lame se retrouve sous la gorge du gérant. Ne crains tu pas la mort ? C'est la première fois depuis longtemps que je vois quelqu'un aussi calme face à la possibilité de mourir.

Tu as accepter l'hypothèse que je suis bien une personne que tu n'a jamais rencontré, accepter mes lubies et tu te prétend garant de pêchés. Elle appuya légèrement l'arme contre sa gorge, la faisant glisser vers l'épaule ou elle enfonça légèrement l'outils de travail du cuistot. Son regard ne transmettait plus la moindre émotion et techniquement elle n'avait plus besoin de lui, juste à passer le temps. La lame faisant face à celui qui jusqu'a lors semblait faire preuve d'une bonté sans limite envers elle.

Elle fit mine de vouloir le planter en plein dans le cœur de l'homme avant de le retourner vers elle s'offrant une balafre digne des films d'horreur sur la joue. Finalement, elle retourna à son siège le couteau encore à la main. Hésitante elle avait préférer ne pas trop l'abimer pour l'instant, après tout il ne pourrait pas vraiment s'en sortir comme elle, tant pour y survivre ou faire réparer son corps. Assise à table elle se resservis un ou verre puis deux jouant avec le couteau entre ses doigts fin.

Ratant de peu de transpercer sa peau et la chair en dessous mais très vite la lame fut encastrer dans la table et elle fut de retour à ses côtés. Et si plus tard il était trop tard ? Pour toi, comme pour moi ? Il ne reste plus beaucoup à boire, beaucoup de temps à tuer et demain est un autre jour. Le sang avait teinter légèrement les habits des deux protagonistes à des endroits divers, aucun d'eux n'avait de blessure très grave, mais bel et bien visible malgré tout.

Que devrais je donc faire ou te proposer pour te sentir vivant ? Tu n'a pas l'air vénale, ni attiré plus que de raison par les plaisir de la chair, plus à l'écoute que bavard...J'aimerais te faire plaisir...Elle se raccrocha à lui le sourire aux lèvres se rattrapant d'un faux mouvement. Les deux verres remplis à ras avait semble t-il entamé sa prestance restante et son équilibre et la poupée sous cette forme  commençais à ne plus tenir dans ses haut talons pour marcher droit.

Oh, elle mourrais d'envie de reprendre son apparence monstrueuse, tant pour se sentir plus à l'aise que pour la liberté de mouvement qu'elle y gagnerait. Mais pour l'heure c'était impossible en une tel compagnie et elle trouvait des moyens de passer le temps et pour éloigner une si belle âme d'une femme laissant aller ses frustration sur autrui quand le trop plein était présent. Le sorcier avait eu un bon réflexe et enlacer l'un contre l'autre elle s'excusa de n'être malgré elle qu'une enfant gâtée.

Ils étaient peu nombreux à lui avoir dit non jusqu'a lors, de toute manière elle n'avait pas eu d'enfance ou une vie normale à proprement parler. Bien sur cela n'excusait en rien son attitude, mais pour la première fois depuis longtemps elle s'était accorder une soirée en compagnie de quelqu'un lui offrant la possibilité d'être insupportable et presque odieuse sans lui en tenir trop rigueur. Elle aurait pu lui offrir tant en récompense, mais encore fallait il qu'il montre qu'elle était ses désir profond.

Reviens boire avec moi, tes employées rangeront demain...A moins que l'heure de ma punition ne soir venue...Une idée étrange compte tenue du fait qu'elle n'avait subit ce genre d'outrage si peu de fois qu'on aurait pu compter sur les doigts d'une main leur nombre. Et pourtant elle lui en laissait le loisir en cet instant, attendant de voir ce pour quoi il opterait.

Ambrosia et alcool en trop grande quantité se voyait rarement ou alors uniquement lors de soirée privé si l'on puis dire. A trop boire elle se plaisait à jouer sur la corde raide de chacun, à fleurter plus que de raison et à profiter d'une aventure d'un soir lorsqu'elle ne participait pas à un rituel avec d'autre race. Cependant, dans le trop plein et l'envie de fuir elle semblait perdre plusieurs notions, mettre un terme à l'image de perfection entretenue lorsqu'elle avait l'esprit clair.

La soirée aurais pu se passer différemment, être d'un ennuis suffisant pour qu'elle finisse par rentré tout simplement, mais le destin en avait décider autrement. Ainsi la voilà dans une position que jamais elle n'aurait arborer sans raison, l'arme à la main menaçant un homme innocent. Les mots qu'il employait semblait étrange, même pour un homme de dieu, mais il avait réussit à la priver du moindre relent de peur une fois encore.

Malgré le geste qui suivit et le réflexe qu'il eut...Stolas une fois encore se contentait de sourire et de faire bonne figure. Mais qui diable était il à la fin !? La remarque suivante lui fit baisser la garde suffisamment pour qu'il se protège d'un éventuel mauvais coup de plus de la part de la belle. Et pourtant, cette méfiance éveiller fut ce qui épargna la jeune femme d'une plaie plus grande que celle dont elle venait de se gratifier.

Je paye toujours chaque gouttes de sang verser d'une manière ou d'une autre. Ma vie pour un monde meilleur tant que ma poitrine se soulèvera et sans doute bien après. De retour à la table elle s'était occuper un temps, avait vider des verres en plus avant de le retrouver pour le persécuter sans doute pour la dernière fois de la soirée. Ce que je veux ? Elle ne put retenir le rire secouant son corps humain semblant presque frêle dans sa tenue et au vue de son état.

J'ai trop bu pour vouloir ce que je désirais en début de soirée, pas assez pour prendre ce qui pourrait me satisfaire. Sa perte d'équilibre dans ses haut talons pourtant habituel la trahissait, face à un surnaturel prendre ses aise aurait été d'un naturel alors qu'une fois de plus la voilà limiter par ce monde. Quelques lueur de lucidité demeurait ça et là et la jeune femme commençait à se dire qu'il fallait partir avant de commettre une erreur irréparable.

Les excuses balbutier ne détournèrent pourtant pas l'homme d'un détails auquel elle avait oublier de porter attention pour une fois...Prisonnière de l'étreinte du démon elle se laissa faire face à la douceur soudaine dont il fit preuve, étonner d'un tel retournement. La suite fut moins douce lui rappelant des souvenirs qu'elle crut avoir noyer il y a plusieurs semaines. A la fois avec lui et dans le souvenir de la dernière nuit aussi alcoolisé  qu'elle eut vécu.

Une nuit suivant une journée entière de fête et de beuverie d'où elle avait finis par s'éclipser. Ce fut sa voix qui la ramena au près de lui de nouveau, tout comme la douleur qu'il lui infligeait creusant sa chair. La croquemitaine s'accrocha à lui le regardant d'une autre manière, semblant peser le pour et le contre. Elle se fit plus délicate et douce à sa réflexion, comme si elle attendait l'instant T, celui du non retour dans un sens ou dans l'autre.

Il la faisait patienter encore et encore, trouvant à redire autant qu'a faire jusqu'a maintenant. Cèderait il ou continuerait il à éprouver la patience de la demoiselle sur son lâcher prise ? Avait il seulement anticiper ce qu'elle attendait, ce qu'il lui avait fait comprendre en osant un geste si oser ? Pourtant la poupée de porcelaine semblait bien docile entre ses doigts... La demoiselle l'observait verser le liquide une fois installer, sans pour autant le lâcher complètement, comme si elle allait s'effondrer sans lui.

Pourtant lorsqu'il lui glissa le verre elle attira à lui le semblant d'homme dans le coin le plus sombre. Elle rassemblait ses forces depuis un moment et ne l'immobilisa pas mais arracha un grand pan du tissus qui couvrais son torse mettant à nu la blessure infliger et plus encore. J'aurais sans doute du mal à remettre cette soirée en ordre, mais j'aimerais savoir une fois pour toute ce que tu es. Tu as pu t'amuser toute la soirée à mes dépends, mais il est temps pour toi de choisir...

Des craquements à vous glacer le sang commençais à se faire entendre, le corps de la blonde s'agitait doucement pour l'instant et la prise sur le corps du sorcier se fit plus ferme. Elle le força à échanger leur place d'un coup sec manquant de les renverser tout les deux au sol. Le visage de la créature se rapprochait de celui de Stolas, son souffle effleurant son cou. Ambrosia n'était plus humaine...plus totalement certaine partie de son corps reprenant peu à peu leur véritable apparence.

Le visage de l'innocence toujours présent ais pour combien de temps ? Tu n'es pas comme moi, un vampire n'aurais pas eu ta retenue, tu ne semble pas craindre ombre ou lumière, les choix diminue...Vais je devoir te pousser à la confession lorsque la nuit pourrait tellement mieux finir...Sa voix fut soudain si froide. Est tu un garou ? Un animal perdant la tête plus souvent qu'il ne devrait ? Si  le début de sa transformation fut moins indolore, la suite se faisait sentir malgré tout arrachant quelques exclamation à la belle.

S'être nourrit avant lui permettait d'être bien plus forte qu'a l'accoutumer, mais si la douleur ne la dérangeait point elle finit par reprendre forme humaine en sentant les mains du sorcier contre sa peau. Il l'avait toucher avec une tel douceur dans sa position que pour la seconde fois de la nuit elle baissa sa garde. Si elle dominait l'homme en apparence c'était lui qui l'avait mener à un tel état en un sens.

Même là où en temps normal elle n'aurais pas chercher bien loin  avant de l'exécuter pour couvrir ses traces la blonde se figea face à son geste. Il était parvenue à calmer l'ouragan par un acte qui déclencherait sans doute bien autre chose en tant voulu.

Qui aurait cru que la reine des croquemitaines sombrerait dans de tel travers pour se soulager ? Le personnage habituellement si raffiner, si élégant et réfléchis dans ses gestes qui aujourd'hui se laissait aller à ses pulsions. Le pire dans ce cas précis était que son complice ne faisait que la pousser à pire encore et encore volontairement ou non d'ailleurs. Rien ne semblait le toucher et pour quelqu'un comme elle c'était presque comme une insulte la frappant de pleine fouet.

Comme si il lui hurlait qu'elle était banale pour un sous et que s'il n'était pas tenue de faire bonne figure elle serait seule et sans le moindre regard. La contradiction n'est pas seulement humaine quoiqu'on en dise, il n'y a qu'un pas entre chaque sentiment et demande même si elle se trouve à l'opposer l'une de l'autre la seconde d'avant. Si les secondes et minutes suivante leur tête à tête se poursuivirent plus proche de son élément naturel il semblerais que l'autre n'ait pas anticiper le retour de flammes.

Prête à le déshabiller et à l'asticoter assez pour faire ressortir la bête en lui elle avait commencer par la première couche, le tissu...Ce qui fut révéler n'était pas désagréable, mais la jeune femme s'interrogeais autant qu'elle en voulait plus. Chacun de ses excès semblait finalement éveiller quelques chose en lui et s'il devenait un problème elle ferais une exception alimentaire...Pourtant, cherchant à le pousser un fois de plus et à lui tirer les vers du nez la créature prenait certain risque.

User de sa vrai forme pour épouser l'ombre si infime soit elle; pour arracher un soupçon de peur même infime à sa victime en devenir. L'interrogatoire repris dans une position qui n'était pas forcément la plus enviable pour l'individu de sexe masculin, elle avait le dessus et ne s'embarrassait plus de semblant usant de sa force sans même plus chercher à la doser ou à la cacher. Dans un entre deux la blonde avait stopper sa transformation, mais qu'était elle en train de faire !?

Jouer ainsi à la vue du premier venue ? Offrir une information au premier venue sur elle bien qu'il eut sembler deviner aisément ce qu'elle cachait. Pour la énième fois de la soirée il la surpris encore, semblant admirer le corps déformer et singulier de la belle malgré l'état dans lequel il se trouvait. L'haleine sans doute encore corrompu des effluves remonterait en partie au visage de celui qui n'avait pas encore été condamner, mais qui malgré tout n'était pas encore totalement à l'abri.

Je refuse de croire à ton humanité et si tel est réellement le cas tu ne le sera bientôt plus. Impossible de te laisser partir...tu es trop distrayant. Si elle avait penser avec force la fin de sa phrase elle ne l'avait pas dites à haute voix, gardant pour elle l'importance de l'intérêt qu'elle lui portait. Elle ne pouvait rester indifférente devant une tel maitrise de soit et si Stolas était bien un humain elle trouverais bien un être pour le transformer et le plonger dans leur monde.

Lorsqu'il leva les mains elle cru d'abord qu'il avait finis par comprendre, mais elle se figea complètement en sentant le contact de ses mains tant contre sa peau et sa chair que contre les os et la cuirasse monstrueuse présente. Comment pouvait il l'accepter aussi facilement et apprécier ce contact entre eux ? Ce fut comme ci elle avait reçu une décharge électrique et elle reprit forme humaine tourmenté par ce contact inhabituelle sous cette forme si proche de l'originale.

Le sorcier se rapprocha d'elle en un geste qu'il n'aurait pas eu plus tôt sa tête au creux de son cou déposant un baiser auquel une fois encore elle ne s'attendit pas. Fuir lui donnerait la victoire sur elle, mais dans son état rester la pousserais à bien des égards dans une direction qui n'avait pas lieu d'être pour l'heure. Son hésitation s'envola lorsque l'air vibra de nouveau, elle ne jouerais plus. A lui d'aimer ou de nourrir la bête qu'il avait titiller et éveiller.

Elle tourna légèrement la tête capturant ses lèvres meilleurs à déverser de l'acide qu'a offrir de tendre moments et qui pourtant semblait tout aussi apte à le faire. Pour la première fois de la soirée il n'y avait plus aucun d'eux cherchant à dominer l'autre ou à faire le malin. Pourtant, comme si l'emprise fut briser elle se redressa lui annonçant que l'heure du départ avait sonner et que le chessecake attendrais demain. S'il tentait de la retenir elle termina le verre du poison alcoolisé servit et après avoir ôter ses talons se dirigea vers la porte tant bien que mal.

Elle commençait à ne plus se situer complètement dans l'espace et si assise ou allonger elle semblait capable d'agir en plein milieu du diner sous les lumière elle avait un peu la tête qui tourne. La carapace qu'il représentait et lui offrait de son ombre projeter par moment sur elle n'était plus et la demoiselle tanguait dangereusement. L'artiste avait tout laisser derrière elle et avançait d'un pas inconstant, tantôt lent, tantôt rapide et si la plupart des gens serait déjà étaler au sol il semblait que ce ne fut pas la première fois qu'elle fut dans un tel état.

Ambrosia ne parvenait plus à évaluer de manière logique le temps et sur le pas de la porte son corps parut frêle en comparaison de sa véritable enveloppe. Surtout maintenant, qu'il ne restait que la fine robe bleu. Les lumières venait de s'éteindre derrière elle et pourtant elle ne se retourna pas semblant chuchoter des mots diffus. Ta note...demain...les cours...dégâts Elle passait d'une sujet à l'autre quand finalement elle se retrouva de nouveau dans le tumulte glacer de la nuit orageuse martelée par les éclair et le tonnerre assourdissant.

Il fallut peu de temps pour qu'elle ne ressemble à un chat mouiller, pourtant en un sens cela lui faisait du bien. L'eau glacer retirait une partie de l'apathie la touchant, lui ouvrait un peu les yeux également, mais il faudrait bien plus pour qu'elle cuve entièrement. Le visage lever vers le ciel elle semblait attendre un signe, à moins qu'elle ne pense plus correctement. Elle n'écoutait plus déjà le brun semblant si loin et elle dut se contenir au prix de réflexe de ne pas lui faire de mal lorsqu'il la saisit par les hanches.

Ses mains crisper contre son corps, elle avait saisit les mains la tenant avec une certaine vitesse pour son état qui était à faire peur. Je n'ai plus...de téléphone...donc je vais devoir rentrer à pied où...Ses phrases entrecouper était compréhensible bien que l'interlocuteur peinerait un peu à saisir ce qui pouvait bien lui passer par la tête. Quoi ? Tu as peur... que l'on fasse du mal...au pauvre petit monstre ?

Pour la première fois de la soirée elle eut l'impression qu'il demeurait bien plus fort qu'elle et ce peut importe ce qu'il montrait. Que ce soit elle qui décline ou lui montrant son vrai visage elle n'eut pas vraiment le temps de comprendre comment elle avait finit dans ses bras et encore plus rapidement dans une voiture à l'abris des torrents de pluie. Tu nous emmène dans un endroit plus discret ? Ses rires avait cesser face au regard de la créature l'accompagnant et si elle était devenue en grande partie spectatrice elle ne désavouait pas les acteurs pour l'instant.

Au départ la jeune femme et l'homme de foi avait sembler se faire une guerre, lui ne semblant s'attacher à elle que lorsqu'elle franchissait certaine limite maintenue que pour préserver l'humain. Mais puisqu'elle s'était mis à douter de lui et qu'il lui avait donner plus d'une raison d'assumer son côté obscur ; Ambrosia se cachais de moins en moins. Partager entre une acceptation étrange les deux était devenue plus tendre l'un envers l'autre.

Moins de raillerie, moins de question juste un instant plus ou moins agréable. La blonde avait franchis un point, elle savait ce qui arriverait et si le bénéfice du doute s'estompait rapidement elle préféra renoncer avant qu'il ne soit trop tard. Leur baiser, l'attitude et la façon dont leur corps réagissait l'un à l'autre était une caresse bien plus douce que beaucoup d'autre chose. Fuyant celui qui commençait à la mettre bien trop à l'aise elle se retrouva sur le trottoir au milieu du tumulte.

Il se décidait enfin à vouloir d'elle lorsqu'elle prit la fuite, qu'elle ironie. La désirait il parce qu'elle se montrait moins disponible, où le spectacle étonnant offert plus tôt avait eu une saveur de trop peu. Capturer de nouveau elle fut dans l'étreinte de ses bras, déversant des paroles presque incompréhensible à celui qui jouait pourtant les sauveurs au près d'elle. N'offrant qu'une énième pique afin de le repousser, cela n'eut que peu de prise.

Stolas lui répondait n'étant ni gentil ni monstrueux avec elle, les réponses furent simple et sans chichi. Porter en princesse elle n'eut que peu le loisir de se débattre perdu entre l'analyse de ses gestes, le changement si drastique et tout le reste qui lui reviendrait en plein visage dès lors où elle serait plus sobre. Allonger sur la banquette arrière elle se saisit du vêtement glisser pour disparaitre en dessous.

Refusant de subir les lumières dansante des lampadaires sur son visage la discussion se poursuivit avec celle qui devenait presque une ombre à part entière. Elle aurait pu reprendre sa mauvaise habitude mais étrangement la réponse fut plus douce que les précédentes. Merci, j'essaierais de ne pas te pousser à regretter ton geste. Après un temps qui lui sembla si long il ne bougeait plus, un bruit métallique se fit entendre et il fut de nouveau face à elle.

Son transport fut rapide et dans l'obscurité quasi totale qu'offrit la pièce elle se sentit soudain mieux. Bien sur les effets de la boisson ne partirais pas pour autant, mais au moins plus rien ne l'agressais dans son état. La jeune femme observait du coin  de l'oeil l'endroit ne s'y aventurant qu'une fois qu'elle le sentit de nouveau à ses côtés. Ce ne serais pas raisonnable à mon avis, j'ai déjà faillit commettre un impair sur ton lieu de travail je tacherais de me tenir.

Enfin, un minimum...M'occuper ? Sans toi ? Sa voix laissait entendre à elle seule qu'il ne s'en tirerait pas ainsi. Inutile de la voir, quand à son souffle effleurant la nuque de l'hôte elle fut moins intrusive que les mains retraçant par endroit certain motif. Torse nu il ne pouvais guerre l'en empêcher et encore faudrait il qu'il en ait envie. Si je compte te priver de ton humanité je n'ai pas encore choisit la forme que tu arborera, peut être même que je te laisserais choisir.

La créature avait attraper les petits objets métallique pour le garder plus longtemps avant d'errer comme à la recherche de je ne sais quoi. Puis elle s'avança vers le fond du lieu et ramassa un tee shirt qu'elle déposa sur le bord du lit. Sa robe ne prit pas longtemps à tomber sur le sol dévoilant une peau lisse et pale, l'on n'y voyait pas d'imperfection à proprement parler. Dans les secondes qui suivirent elle porta la pièce de tissus en remplacement de celle qui fut ôter.

Elle ne portait plus une tenue des plus glamour puisque ne restait que fine culotte en soie et un haut au gout douteux d'une certaine façon. Les clefs disparu d'un lancer dans un coin de la pièce et la phrase lancer de la même manière donna le ton. Tu viens me rejoindre ou je dois venir te dévorer d'une manière ou de l'autre ? Elle avait pris place sur le lit, trônant dessus comme s'il s'agissait d'un piédestal. Se mettant en valeur malgré l'état dans lequel elle se trouvait.

Elle lui laissait le choix de rester ou non au cours des prochaines heures, bien qu'elle orientait en quelques sorte l'homme au corps humide qui avait pris davantage soins d'elle que de lui. Toujours le torse nu elle ne pouvait s'empêcher de penser que finalement céder n'était pas très grave. Si elle désirait réécrire une partie de la soirée un vampire pourrait toujours régler le problème temporaire.

Stolas se faisait désirer, devenant un objet de convoitise autant qu'un habile tourmenteur poussant à la faute autant qu'a des instincts à la limites des convenances. La soirée vacillait dans la tête de la blonde mais par moment certaine phrase ou moment revenait et la frappait de plein fouet. L'une des choses qui la maintenait dans un état d'alerte léger, si elle devait vivre ses dernière heure au moins elle se serait amuser et aurais vécu une belle vie en quelques sorte.

Elle ne prétendait pas vivre et régner jusqu'a ses deux cent ans si elle atteignait un tel âge, mais cela arrivait quand ça arriverais. Vivre et profiter de chaque instant avait longtemps été sa devise, le serait encore un peu même si désormais elle vivait pour sa patrie également. Volant les clefs elle crut enfermer l'homme avec elle, le contraindre à un seul et unique choix et si elle atterirent je ne sais ou dans la pièce Ambrosia se présentait comme le plat de résistance.

Plus de distraction, rien qui ne puisse les déranger puisque la présence du familier sembla être un mensonge éhonté. La créature posé sur le lit observait celui dont le statut ne s'était toujours pas figer. Il l'avait faites passer du chaud et froid et même maintenant elle ne pouvait dire comment serais l'après. Le voir céder ne put que la ravir et la suite, leur lèvre semblait s'accommoder de leur rencontre devenant plus insistante à mesure que la soirée avait avancée.

Le désir se faisait sentir tant par lui que par elle, mais ainsi dévoilée prit un instant pour obserer l'homme face à elle. Qu'avait elle en face d'elle ? L'attente trop longue, ou le verre de trop la rendait fébrile. Elle aurait désirer reprendre le dessus et lancer les hostilités, mais malgré la pénombre son corps réclamait une pause. La jeune femme sembla manquer une seconde et il n'y eut plus rien. Fut elle emporté par le sommeil ? Sans doute.

*** *** *** ***

La nuit fut courte dépendant du point de vue et seule des fragments étrange avait subsister bien qu'elle ne saurait dire ce qui était vrai, avait été rêver et réellement fait. L'endroit était calme, aucun réveil ou furie pour la réveiller et la presser comme si nous étions un lundi matin, jour de repos pour elle bien souvent. Ce qui la dérangea quelque peu fut la sensation de mouiller au niveau de ses pieds la poussant à se recroqueviller sous les draps dont la texture semblait étrange comparé à d'habitude.

Pourtant après ses pieds ce fut son visage qui reçu une bonne dose d'humidité et elle entrouvrit les yeux pour se retrouver face à un  regard peu commun. Etonner elle se redressa en douceur, clignant des yeux plusieurs fois, les frottant refusant de croire ce qui fut sous ses yeux. Se levant d'un coup elle pris le partie d'aller à la salle debain, les yeux à demi clos elle se heurta contre un meuble et renversa une partie de son contenue sur elle même.

Aïe ! Elle rouvrit les yeux d'un coup, d'habitude la pièce était toujours ouverte et il n'y avait pas de meuble là...Regardant autour d'elle elle se rendit compte qu'elle n'était pas chez elle et que la chèvre était bel et bien là en sa compagnie.  Cette dernière semblait la mener vers ce qu'elle cherchant tirant sur le bas du haut en direction d'une pièce. La jeune femme caressa l'animal en remerciement et s'y glissa pour se rafraichir.

Se lavant le visage au départ elle fit couler un bain tiède  et quetta à la recherche d'une serviette de bain. La biquette la guettait observant d'un œil étrange chacun de ses déplacements. Une fois fait elle se glissa dans l'oeil ne prenant pas la peine d'allumer la lumière ou ce genre de petit geste habituel. Une heure plus tard elle enfila un peignoir après avoir sécher délicatement sa peau. L'animal semblait adorable et en recherche d'attention ce qui ne dérangea pas vraiment l'artiste.

Une fois la baignoire vider, elle entreprit de chercher de quoi grignoter et de farfouiller quelques peu à la recherche d'indice sur l'étrange nuit et rêve qui l'avait tourmenter dans son sommeil. Cela ne lui ressemblait pas d'atterrir chez une de ses conquêtes d'un soir et encore moins sans vraiment se rappeler de ce qui lui avait fait faire un tel choix. Regardant ça et là elle tomba sur la note qui lui était adresser. The Goat ?

Il lui fallut un moment pour se recentrer et retrouver le visage de l'homme chez qui elle avait terminer la soirée si elle ne faisait pas erreur. Elle ne se rappela pas de tout, flottait dans son esprit l'approche de l'homme au près d'elle. La boucle de ceinture se défaisant et...Elle fut parcouru d'un frisson à cette pensée mais le blanc qui s'en suivait rendait le tout tellement frustrant. Par reflexe plus qu'autre chose elle avait refermer la fenêtre faisant virevolter les rideaux, car si la pièce était assez sombre il y avait des rayons de soleil trahissant l'heure matinal.

S'assurant d'éviter leur méfait elle prenait lentement possession de son environ fouillant ça et là après avoir récupérer de quoi grignoter. Le bruit des sabots lui faisait comprendre qu'elle n'était pas seule l'animal réclamant de plus en plus son attention quant elle ne tentait pas de la mordre elle ou ses vêtements. Dans l'antre du prêtre certaine chose l'appelait lus que de raison, des chose que le communs des mortel ne regarderait pas une seule seconde, mais qui l'attirait inexorablement.

Elle ne s'arrêtait pas à la surface des choses, leur état ou même les dérangement de plus en plus insistant de l'animal. Pourtant pour une si petite chose elle commençait à l'énerver. Tu semblais si calme hier, ne me fait pas regretter ta rencontre. Un premier avertissement tandis qu'elle s'attelait à analyser les objets de collection se rapprochant de chose qui lui en dirait bien trop sur l'homme aux multiple visage. Cette fois la bête chargea et elle ne l'évita que de justesse mais déjà elle semblait vouloir reprendre le dangereux manège.

La croquemitaine laissa tomber ses manière tout comme la couche de tissus sur son corps. A quatre patte elle n'hésita pas grognant tandis qu'elle reprenait sa véritable forme dans l'obscurité. Seul le bruit des craquements était pour l'instant une valeur sure de ce qui se passait dans l'obscurité. Puis d'un coup une chose sembla bondir sur l'autre être vivant de la pièce. Une chose se fondant à merveille dans l'obscurité et dont la seule chose se détachant de l'ombre fut ces yeux brillant.

La bête cornu était désormais traquer dans le moindre recoin et ce fut le cas jusqu'a ce que l'ombre solide s'en empare. Sa voix plus dure semblait briser l'animal comme s'il comprenait ce qui risquait de lui arriver. Je t'avais dit de te tenir tranquille, maintenant je vais te dévorer pour avoir la paix. Le rire tranchant et sadique s'en suivant glaçais l'atmosphère, sa poigne sur la chèvre était réel bien qu'indolore. Ainsi elle fut trimbaler à la recherche du graal temporaire de la belle.

L'animal tenta de mordre ce qui la maintenait et en réponse elle sentit les crocs aiguiser sur elle tel un avertissement. C'est vrai que je pourrais te manger toute crue...Etrangement la proie fut relâcher, mais traquer inlassablement jusqu'a ce qu'elle ne fasse tomber un miroir sur la créature de l'ombre. Le jeu prenait fin et finalement le familier fut enfermer dans une énorme marmite mise sur le feu sans rien d'autre. Le couvercle solidement maintenu et attacher la chaleur calmerait bientôt le potentiel amuse gueule.

Lorsque le fond fut légèrement chaud elle retira le couvercle après avoir éteint le feu, puis regarda fuir celle qui lui avait mener la vie dure aujourd'hui. Le verre d'eau était rester sur la table de chevet tout comme l'aspirine. Les soins qui lui fut apporter durant la nuit et ce bain de noirceur était suffisant tant qu'elle n'était pas exposer à son ennemi naturel. Entre sa course et la leçon donner et l'endroit inadapté à son véritable corps il y avait un sacrée chantier.

De nouveau cri plus léger et son diversifier résonnait de nouveau entre les mur de la maison. Une fois remise de ces changements de corps elle avait finit par commencer à ranger observant de plus près certaines choses qui furent dévoilé. Un vieux carnet usé par le temps fut ce qui lui fit faire une pause, mais à peine fit elle mine de l'ouvrir que quelqu'un toqua à la fenêtre qu'elle eut fermer plus tôt. Au départ, plus un son. Qui diable frappait à une fenêtre et non une porte ?

Entendant cette voix qui ne lui était pas complètement inconnu s'annoncer elle finit par ouvrir un des pans de la fenêtre en se servant du rideau pour protéger son bras. Reculant elle le laissa entrer attendant de voir si au moins le rêve et la réalité n'était pas trop différent l'un de l'autre. Retournant à ses occupations ménagère elle avait laisser de côté l'ouvrage plein de promesses. Désolée pour le désordre, mais ta mascotte m'a mener la vie dure...

Je pensais avoir le temps de ranger avant ton retour , mais je n'ai pas eu cette chance. Se tournant de nouveau vers lui, elle fut interloquer par sa tenue et par le fait qu'il semblait à bout de souffle comme s'il avait couru un marathon pour rentrer d'urgence. Qu'ais je fais pour finir chez un prêtre en pleine nuit !? Réflexion tant pour lui que pour elle, dans ces souvenirs il n'en était rien à peine évoquer et qui...A se battre avec une mémoire noyer elle ne gagnerais rien de plus que d'avoir besoin d'un véritable anti douleur.

Tout va bien ? Inutile de trop l'épuiser et de l'accabler pour l'instant. Après tout, il s'était occuper de lui procurer un minimum de confort en prenant certaine précaution alors qu'il eut tout le loisir de lui faire du mal lorsqu'elle fut inconsciente. D'abord semblant figer le regard poser sur elle comme si quelque chose clochait il finit par bouger et surtout répondre de manière intelligible. Il s'approcha d'elle d'un pas vif tandis qu'elle ne cherchait qu'a comprendre et recréer le puzzle oubliant même sa tenue du moment.

Certaine parties de son corps était endoloris et il subsistait quelques marque de l'affrontement contre l'animal caché dans un recoin, mais rien de trop grave ou qui ne passerais pas. Un bleu sur l'une de ses cuisses et quelques coupure au niveau du visage et du cuir chevelu, le tout assez superficiel. Elle ne savait pas trop comment l'accueillir, gardant ses distances ou l'embrasser, raison pour laquelle elle le laissa faire.