La jeune femme fut prise de cours, entre l'animal envahissant et le retour impromptu du maitre des lieux elle n'avait pas eu le temps de faire grand chose. Certes la bestiole demeurait très mignonne, mais son comportement était presque étrange. Elle semblait se cacher derrière lui, comme si il pourrais la protéger de sa véritable nature. Cela amusa la jeune femme qui se retint d'afficha un sourire qui à l'heure actuel aurais pu passer pour de l'effronterie.

Je bois rarement à ce point toute seule, ou était donc mon compagnon de boisson ? Et ou m'avez vous...trouvez ? Pour le désordre vous devriez plutôt vous attarder sur votre chèvre, tout ce que je me suis permis de faire est de me laver et de prendre de quoi me restaurer. Se rapprochant comme si de rien n'était il passa à ces côté lui ôtant le petit ouvrage des mains avant de lui faire remarquer qu'elle ne portait plus rien sur le dos.

Machinalement, elle ramassa le peignoir au sol et le passa avant de reprendre le rangement comme si elle n'avait jamais été déranger. Je suppose que vue les charge de votre mascotte je puis m'estimez heureuse de n'être que si peu blesser. Je n'irais pas jusqu'a dire que c'est indolore mais j'ai connue pire. Je me ferais soigner une fois rentrer chez moi. Elle avait fait attention aux mots, aucune marque ne devait perdurer sur son corps qui était son outils de travail.

Le pire étant que de bien des manières elle ne cessait d'heurter et de blesser cet outils censé être essentiel. Souffrir signifiait vivre, que l'on était pas arriver à la fin. Quand au processus de guérison et aux blessures diverses, le temps de guérison les limites qu'elle avait avec et sans le moindre soin...L'on aurait pu croire qu'elle n'y ferais pas attention, mais elle savait que rien ne pouvait demeurer au hasard.

Le voyant la pourchasser comme pour lui faire ressentir son humeur et la faire partir elle s'éloignait ranger plus loin, mais les regard insistant et les sabot de la bichette sur le sol sonnait tellement comme un signe de défis qu'elle fit demi tour pour lui faire face avec beaucoup d'élan. Un geste en temps normal n'aurait pas eu beaucoup d'incidence mais qui là sonnait le début du périple de la blonde. Ses pieds rencontrèrent les éclats de verre tandis qu'elle maudissait le prêtre dont le corps et la gestuelle la troublait.

Son regard poser sur lui plutôt que sur le sol n'était pas une bonne idée. D'ailleurs, si elle retint le cris elle préféra ne pas lui faire face tandis qu'elle grimaçais de douleur. La croquemitaine s'éloigna tant bien que mal et commença à ôter les débris de ses pieds quand la chèvre en profita pour prendre sa revanche en la poussant. Voulant se rattraper pour éviter de se retrouver à hauteur de l'animal qui aurait pu finir cuit à l'étouffer, elle se raccrocha aux rideaux. Mauvaise idée...Ces derniers craquèrent et furent emporter avec l'artiste dans sa chute.

Frapper de plein fouet par la lumière du jour elle fut au départ incapable de se repérer cherchant à tâtons un moyen de se défaire du tissus se mêlant à ce qu'elle portant déjà. Sa fuite bâclé comme celle d'un poisson hors de l'eau avait été désastreuse et n'avait servit qu'a la blesser davantage ayant récupérer les éclat de verre ôter en d'autre endroit. Elle ne s'arrêta que lorsqu'elle ne sentit plus la sensation désagréable et dérangeante et qu'un meuble lui bloqua la route.

S'il la questionnait elle savait quoi répondre, la même chose qu'au journaliste lui tournant autour. Quand à son ombre s'il avait remarquer un tel détail il lui dirait qu'il eut rêver. Comme elle avec sa nuit doublement agiter à ce qu'il fallait en croire. Les yeux de la demoiselle papillonnait comme si elle avait quelque chose dans l'œil. Sa vue reviendrais vite comme les rares fois ou elle avait subis ce genre de chose, mais c'était toujours d'un désagréable...

Le seul point positif était qu'un homme de dieu n'abuserait pas dans dans l'état actuel des choses, quoique comment parler d'abus quand c'est elle qui...Pourquoi !? Comment !? Qu'avait il de si particulier pour qu'en une nuit elle soit si obséder par lui. Elle entendit le bruit de ses pas et aurait voulu au moins se redresser mais le bain de lumière forcer limitait ces forces, de plus elle ne pouvait pas prendre n'importe qu'elle position au risque d'aggraver son état.

Ambrosia n'avait pas envie de blâmer  de nouveau l'animal, inutile qui plus est autant économiser ses forces pour fuir dès l'arrivée de l'ombre nocturne. Cherchant à tâtons les bout de verre d'une main mal assurée ce fut la main du prêtre qu'elle rencontra. Se figeant interdite elle osait à peine respirer, car oui l'allumeuse sans limite avait disparue dès lors où leur soirée d'anonyme avait prit fin, dès son retour glacer et la confirmation que bien des choses n'avait été que fantasme obscur de sa part.

Si ses yeux commencèrent doucement à se resituer elle se sentit décoller du sol, il la portait et lui intima de ne pas trop bouger. De toute manière ce n'était pas comme si elle était en état de se débattre. Ainsi, silencieuse trop pour lui ressembler la poupée de chiffon était calme entre ses pensées et l'analyse des geste qui lui furent apporter. Avait elle finalement perdu la langue ? Était elle encore consciente ou suffisamment pour le déranger dans le théâtre désastreux qui l'entourait.

A sa dernière interrogation elle se raccrocha à lui incapable de beaucoup plus. Après leur nuit il lui faudrait davantage de repos avant de pouvoir faire face à son ennemi naturel la tête haute et le réveil forcer ne le lui avait pas offert. En temps normal elle ne serait sortit du lit qu'en fin d'après midi, moins de risque et surtout un sommeil réparateur. Les mains autour de la nuque de l'homme et la tête au creux de ses épaules elle ne bougea guerre plus.

Les mouvements suivant de Stolas serait plus compliquer dorénavant, car la poupée l'avait emprisonner avant de se terrer dans un entre deux consciente, mais à la limite. Son corps réclamait bien trop d'énergie d'un coup pour la soigner, résister à l'exposition et soulager la douleur dispenser par chacune des blessures. La fraicheur des ténèbres lui léchant la peau était désormais bienfaisante, mais entre la chèvre te le propriétaire aurait elle la paix ne serais ce que le temps d'une heure ?

Même chez lui il tombait comme un cheveux sur la soupe...

Et peut être que je m'apprêtais tout simplement à le ranger lorsque j'ai dû ouvrir à un propriétaire pour qu'il rentre de manière bien étrange chez lui. Elle soupira, elle ne voulais pas ce disputer avec celui qui semble t-il lui avait éviter de faire des gros titre des plus gênant ce qui n'aurait pas seulement entaché sa carrière professionnel, mais aussi l'envers du miroir. Alors qu'elle s'apprêtait à reprendre la parole il fut plus rapide avouant sa faute.

Elle avait du mal à remettre en place ses souvenirs de la veille, certaines des choses lui ressemblait, mais c'était comme si il manquait une pièce du puzzle. Le regard la belle passant de l'animal à l'humain avait trahis quelque chose, de peu visible si l'on y prêtait pas attention, mais de bien présent. Les minutes suivantes furent celle du théâtre ou une fois de plus la créature nocturne fut en position de faiblesse face à l'homme de dieu.

Si elle n'était pas la plus affirmer des croyante elle commençait presque à se dire que ce dernier cherchait à lui faire passer un message au travers de Stolas. Sa voix et le bruit de pas se perdirent au départ au milieu des battements de son cœur tambourinant dans sa poitrine. Être privé de ses sens n'aidait pas à se calmer et surtout au vu des circonstances. En tant normal elle serais enfermer dans son appartement u dans des lieux de travail non exposer de la sorte.

Si elle sentit la prise sur son corps ce dernier semblait léger pour elle, elle aurait presque put croire qu'elle flottait et tomberait d'un instant à l'autre. Même une fois poser elle peinait à différencier le contact des matière autour d'elle. Pour toute réponse à l'interpellation qu'il lui fit il ne reçu qu'un simple Mmmh...Rêvait elle de nouveau ou était il réel ? Maudite chèvre ! Elle avait bien mérité le traitement infliger et plus encore se dit la blonde.

Quand à l'homme à la toge elle le relâcha, inutile d'autant se raccrocher quand on ne peut même pas dire pourquoi. Voyait elle en lui un sauveur ? Un potentiel garde du corps s'il passait de l'autre côté ? La jeune femme sentait bien de léger tiraillement par moment, mais rien qui justifier de se protéger d'une menace imminente. Ainsi comme la nuit précédente elle se laissa emporter dans les ténèbres du monde onirique.

*** *** *** ***

Elle ne saurait dire combien de temps s'était écouler lorsqu'elle rouvrit les yeux, si la journée avait avancer ou non, mais tout était d'un calme reposant et agréable. Se redressant en douceur elle se rendit compte qu'elle était de nouveau entre les même murs qu'au départ. Etais ce une blague, une boucle temp..Non. Stolas était là lui aussi endormis d'un sommeil vacillant ses yeux entrouvert lorsqu'elle effectuait trop de mouvement sur le matelas.

Se glissant hors du lit elle se rendit très vite compte que ses pieds avait été meurtrie plus que le reste de son corps...Evidement, pourquoi diable lui faciliter la tache !? Elle chercha du regard ses affaires et finit par s'asseoir sur un vieux coffre semblant sceller. Beaucoup de question lui venait en tête peut importe l'individu, mais avec lui c'était différent. Il semblait trop gentil pour être réel, toujours là au bon moment pour elle...

L'avait on envoyer pour se rapprocher d'elle et la surveiller sans qu'il n'attire trop l'attention ? Finalement voyant qu'il se refusait de s'éveiller une idée lui vint en tête, pas qu'une en réalité mais il fallait commencer par attacher le prêtre... Marchant d'un pas aussi léger que faire ce peu elle fit glisser la ceinture de son peignoir et attacha le premier bras sans vraiment serrer. Avec un tissus aussi doux il ne s'en rendrait sans doute pas compte tout de suite.

Ce qui fut plus délicat fut d'enserrer la ceinture sur le second bras et tirer sur les deux afin de limiter les mouvement de l'homme. Elle avait caresser en douceur ses bras avant de commettre son méfait d'une traite pour le pousser à offrir ses bras tendu à la prison temporaire. S'il commençait à s'agiter elle cherchait des yeux de quoi maintenir les pieds de sa victime bien que pour l'instant elle s'assura qu'il soit réellement priver de ses mains.

Désolée mon père, mais j'ai toujours eu horreur des questions et des doutes persistant. Je ne vous ferrais pas de mal, alors laissez vous faire, surtout si vous n'avez rien à cacher. Sa voix était presque aussi douce que les mains cherchant à défaire ce vêtement auquel elle n'était point habituer. Sourde aux protestation de l'homme elle finit par aller chercher de quoi attacher ses jambes en cas de besoin et une paire de chaussette propre pour le faire taire.

Ambrosia avait l'impression de jouer dans un mauvais film d'horreur et que d'un instant à l'autre on lui demanderait de passer à la scène suivante, mais malheureusement pour elle comme pour celui attacher à son propre lit il n'en était rien. Si elle tentait de ne pas franchir les limites que son esprit avait largement mise de côté, ses gestes ne trahissait rien pour l'heure. Je ne peux pas rentrer chez moi dans cet état, mais je ne peux pas non plus rester sans savoir...

Cette femme et son obsession du savoir et de la vérité... Après de longue minutes elle avait finis par monter sur le lit immobilisant ses jambes un minimum et avait finalement réussit à ôter les pan de tissus masquant ce corps qu'elle crut apercevoir la veille. Fasciner par ce qu'elle découvrit elle retraça certain symbole. Sa peau semblait parsemer de marque plus ou moins profonde. Les tatouages quand à eux n'était qu'un objet de curiosité de plus.

Toutes ces marques...vos attention si bien cibler. Soyez honnête tant que je vous laisse l'occasion de délivrer la réponse par vous même. Vous pourriez m'avouez presque n'importe qu'elle horrible vérité que cela ne m'affecterais point si vous pouvez le prouver. Je ne juge pas les gens à ce qu'il sont, comment le pourrais je ? Et de quel droit ? La croquemitaine lui laissa un temps de réflexion pour se confier ou non.

A l'autre bout du lit bien que bloquant ses jambes elle observait l'homme aux multiple facette. L'avait on forcer, payer avait il même conscience de ce qu'il faisait ? Et elle ? Comment explique cela si elle faisait bien erreur ? Les cartes de son jeu s'estompais lentement et bientôt il prierais pour son âme si il ne lui laissait pas le choix. Bien sur elle pourrait s'occuper de lui pour le minimum et rester sans son accord, mais quel était les risques ?

Et puis c'était inutile de donner une raison de plus à la chef de la BACS de lui courir après. Je vous en prie Stolas, je...

Les premier mots qui sortirent de sa bouche était des excuses à moitié sincère, car si elle ne souhaitait défaire ce qui avait été fait elle aurait préférer ne pas savoir à le faire du tout. Etrange demande, étrange façon de faire et la scène au regard de n'importe qui pourrait sembler irréaliste  de l'extérieur. D'un côté comme de l'autre aucun d'eux ne semblait se décider, comme ne voulant pas froisser l'autre. La limite était là, visible et si tentante à franchir...

J'aurais pu vous faire pire pendant que vos yeux était encore clos, je le pourrais encore bien que je n'en éprouve aucune envie. Tout ce que je désire c'est la vérité pour l'instant. Finalement, elle n'avais pas vraiment eu le choix et dû l'attacher complètement, le bayonnant temporairement. Si la jeune femme ne semblait pas paniquer, son rythme cardiaque commençait à prendre de l'entrain. Une fois l'analyse du corps offert terminer, au moins pour ce qu'elle pouvait en voir elle passa à la suite.

La blonde aux pieds du lit implorait l'homme de bien des façon de se livrer une fois pour toute, qu'il fasse amende honorable. Avait elle une sorte de sixième sens ou était simplement la pire paranoïaque sur terre ? Peut être même les deux. Quoiqu'il en soit elle finit par lui donner une chance de parler de nouveau ôtant la boule de tissus qui obstruait l'outils dédier à la parole. Vous pourriez être surpris par ma capacité de compréhension.

Les premiers mots qu'il tenta de poser pour sa défense eurent cependant pour effet d'assécher la sensibilité qu'elle pourrait avoir, temporairement s'il ne glissait pas vers cette pente savonneuse. Sa vie ne fut pas si horrible, mais pour bien des raison, elle aurait donner beaucoup dans son enfance pour être quelqu'un d'autre. Ce que vous demandez en retour ? Dans votre situation je pensais que votre propre vie serais déjà fort payer si vous me voulez du mal.

Mais il est vrai que je ne puis vous condamner de suite, alors si échanger nous permet d'en savoir plus l'un sur l'autre...Elle prit une grande inspiration et finit par le regarder droit dans les yeux avant de se rapprocher. Ses mouvements était lent à la manière d'un prédateur approchant sa proie, cependant elle s'arrêta simplement à hauteur de son torse poser juste à côté sur le lit qui servait pour de drôle d'office.

Ambrosia s'apprêtait à lui répondre lorsqu'une fois de plus il l'en empêcha l'assommant de parole et de demande en somme. Autant de condition pour une simple histoire, l'envers du décors de sa ''réussite''. Je ne prend point d'engagement sans en connaitre chaque close, mais ce que je peux vous promettre est de ne point répéter ce que vous me direz tant que la vie et la santé de ma famille ne sera point en danger de votre faute que l'on parle de manière direct ou non. Chaque membre sans exception.

Dans une position semi allonger, elle avait refermer le peignoir d'une main et le maintenait désormais de la sorte. Inutile d'exposer son ''corps'' face à quelqu'un qui semblait aussi gêner d'entrevoir un bout de chair destiné à leurrer le reste du monde. L'attente d'une réponse ne se fit pas trop attendre cette fois et elle finit par prendre ses distances avec lui. Inutile de se laisser porter par des rêves trouble sans le moindre sens.

Elle écoutait chaque mot prononcer, tandis qu'elle semblait une fois de plus à la recherche de je ne sais quoi et elle finit. A tourner en rond ainsi elle en avait presque le tournis et finis par s'approcher des rideaux cachant sans doute une énième ouverture  vers la lueur destructrice pour les être tel qu'elle. Tirant légèrement de côté pour vérifier si la journée fut assez avancer elle compris très vite en voyant la lumière tombant en plein dans le visage du prêtre qu'il était bien trop tôt...

Elle relâcha le pan de tissus obscurcissant la pièce de nouveau. Je ne consent pas à vous laissez périr seul, ni même à ce que vous soyez le seul à faire certain sacrifice selon vos révélations. Dire que je ne vous dois rien serait un euphémisme et c'est aussi l'une des raisons qui fait que vous êtes dans cette position et pas une autre...ou une autre. Son regard semblait trahir la tourmente qu'il y avait dans l'esprit de l'artiste. Un esprit capable de beaucoup de création et d'inventivité, mais qui plus d'une fois avait empoisonner ses relations aux autres.

Malgré l'obscurité dominante, Stolas semblait parvenir à la suivre du regard, certes sa chevelure aidait sans doute aux processus, mais leur regard ne cessait de s'accrocher comme s'il se suivait et cherchait à trouver le point faible de l'orateur suivant. Puis vint une question qui lança les hostilités si tant et qu'il n'accepte les conditions émise. Sinon, elle resterais en suspend jusqu'a ce que les deux s'entende ou craque. Pourquoi avouer une faute vous mettant en mauvaise posture ?

Certes il n'y a sans doute peu ou pas de preuve de votre aide à une demoiselle assoiffée, mais vous auriez pu avoir tant de réaction différente. Car il pourrais dire et penser ce qu'il voulait, il aurait retirer plus de bénéfice à profiter d'elle ce soir là, à l'offrir en pâture aux paparazzi au détour d'un aller retour en cuisine. Elle n'avait rien d'exceptionnelle mis à part certain détail physique et ses titres. Peut être avait elle tort, peut être serait elle celle qui lancerait une véritable utopie.

Et peut être dans son élan tomberait elle de haut priver de ses ailes dorée qui semble la porter depuis bien trop longtemps à force.

Mise à part par instant infime lors de moment particulier elle haïssait avoir les plein pouvoir en dehors de son rôle de reine et même là, par moment elle se serait bien passer du fait que sa parole fasse foi de loi. Cela pouvait mener à des choses parfois au limites de la convenance. Plus le prêtre parlait et plus il semblait assommer la belle qui pour l'instant faisait encore bonne figure se contentant d'ignorer plus d'une parole qui lui fut pourtant destiner.

D'une parole à l'autre elle avait l'impression qu'il se considérait comme un moins que rien ou comme beaucoup plus qu'il ne saurait le dire. Si sa vie ne valait rien, en quoi ces choix pouvait il avoir une influence majeur sur quoique ce soit ? Du lit elle avait finis par rejoindre la fenêtre cherchant un moyen de fuir une situation qui commençait à peser sur ses frêles épaules. Les choses avait pris un tournant tel qu'elle ne pourrais simplement lui faire croire à une mauvaise blague.

Peut être si il n'avait pas pris si mal certain de ses propos et encore...Même si l'heure avait passer suite aux diverses péripéties vécu au cours de la mâtiné c'était insuffisant et elle était plus ou moins couper du monde pour le moment. Le seul geste trahissant son impatience et son mal être était ses mains serrer en poing dont les jointure était encore plus pale que le reste de sa peau. Silencieuse, pour ne pas davantage s'enfoncer ou silencieuse pour ne pas trahir son irritation.

Je me contenterais du fait que vous ne les mettiez pas en danger directement puisque vos actes et votre personne ont tant d'importance. Une manière pour elle de se moquer gentiment tandis qu'elle se mit réellement à fouiller à la recherche de je ne sais quoi. Une recherche ciblé, juste un peu d'alcool histoire de se détendre un peu et d'aviser sans penser à lui arracher la langue ou pire. Quoiqu'en en dise ou que l'on fasse il fallait du temps à la blonde pour montrer patte blanche.

Car il était tout à fait possible de tendre la main aujourd'hui et que cette même appendice vous plante un couteau dans le dos demain. Pourquoi s'acharnait il à prévoir sa mort ? Qu'elle le fasse elle était une chose compte tenue de chaque risque pris...Elle eut envie de frapper dans le premier truc à porter de main et finalement arrêta son poing à quelques centimètres d'une des rares image de la pièce. Pourquoi éveillait il en elle certain instinct ou encore cette prise de conscience tardive.

Elle finit par se rapprocher de lui et se posa en douceur sur le bord du lit. Je sais que jusqu'a maintenant je n'ait pas été la meilleur invité qui soit si je puis dire. Toutefois, une de mes amies proches va nous rejoindre sous peu. Plus pour votre sanité qu'autre chose je vais me permettre de vous bander les yeux ou du moins d'obstruer votre vision le temps de sa présence. Elle m'aide toujours ou presque à prendre les bonnes décisions.

Joignant le geste à la parole elle avait placer un masque de nuit sur les yeux de l'homme dont la position ne faisait que se dégrader de part sa liberté de plus en plus entraver. Puis elle avait rejoins la porte et joua avec la poignée de celle ci qu'elle fit mine de tourner. Par la suite, elle avait de nouveau laisser de côté le peignoir devenue un obstacle plus qu'autre chose. Au sol elle pris une inspiration et retint son souffle pour étouffer ses cris lorsque les os et la peau se mirent à se distordre pour reprendre leur place et leur taille véritable.

Elle ne pouvait étouffer les bruits produit par son corps, néanmoins inutile de laisser entendre sa détresse au travers de cris qui n'aurait fait que la trahir davantage. Puis après un moment de silence elle répondit comme si de rien n'était. Il est vrai qu'en tant que The Lady l'entourage n'est pas toujours bien intentionné, mais en tant qu'Ambrosia Kane il y a aussi nombre d'intéresser. Qui plus est qui dit que votre vérité ne se mêle pas à ce qu'elle croit  ou qui l'intrigue ?

Quand à vos liens je peux vous en libérer il n'était là que pour sa protection, mais il vous faudra garder votre masque ou les yeux clos. Le bluff était risquer, mais comment lui expliquait s'il venait à tricher et la voyait sous cette forme ? Ainsi, elle faisait mine de ne rien avoir avec celle qui fut sa protéger au cours des dernière vingt quatre heures. Elle doutait que cela soit une bonne idée, mais il demeurait bien calme malgré tout, alors autant lui laisser une chance.

Elle n'osa pas se poser sur le lit se penchant au dessus de lui pour défaire le lien le plus loin avant de libérer son second bras. Pour le reste libre à lui de s'en défaire ou non. Assise au sol près du lit elle se contenta de s'étirer cherchant du regard la moindre cachette ou se dérober si il décidait de n'en faire qu'a sa tête. Le toucher serais presque une erreur, déjà qu'en défaisant les liens elle avait pris garde à ne pas l'effleurer, inutile de lui donner plus d'interrogation.

Minaudant afin de que les deux voix n'ait qu'une infime ressemblance elle ne pouvait compter que sur la parole home qui désirait trop de condition pour un simple aveu. Quoiqu'elle n'hésitait pas non plus à demander une contrepartie bien gênante. Si vous êtes un homme à croire en la bonté d'âme elle n'y crois que venant de la part de victime et encore...L'être humain accusera toujours autrui pour son malheur, dieu pour son incompétence à les protéger ou le diable pour leur péchés si l'on considère qu'une tel chose existe.

Concevoir que certain y crois était une chose, adopter les formules dans la vie de tout les jours était autre chose, mais elle avait trop longtemps attendu un signe de l'un ou de l'autre pour croire qu'ils avaient une réelle incidence sur les anges et les démons faisant rage en ville. Ces noms affubler à chaque espèce aurais pu être différent, ne collais parfois pas à l'être qui le portait comme une identité le condamnant dès son arriver.

Je suis prête à entendre la vérité sans le moindre artifice. Peut être même que je vous expliquerais la raison de tant de précaution.

Passer du chaud au froid semblait être une seconde nature en sa compagnie et ce malgré cette réalité trouble dans son esprit. Être sobre ou non n'y changeait rien, il appuyait là ou ça fait mal incisant de ses mots la demoiselle troubler par un autre être jouant autant sur les mots qu'elle. Il la piégeait avec ses propres mots comme le faisait habituellement la tête couronner. C'était cela qui la mettait hors d'elle alors qu'il n'y avait pas vraiment de mal.

Si tel avait été mon but vous seriez déjà mort Stolas, par pitié arrêter de chercher une fin que je ne vous accorderais point ! La question suivante étouffer lorsqu'elle s'empressa de se changer. Toutefois, puisqu'il acceptait l'hypothèse d'une seconde âme en ce lieu, elle pouvait remettre le compteur à zéro. Bien sur elle ne pouvait le laisser totalement libre, mais tant que son regard ne se posait pas sur elle se serait du temps gagner et une chance de plus que l'histoire se termine bien.

Je ne dirais pas le contraire, ce n'est jamais une très bonne période pour elle. Ce n'était qu'une part de la question, mais cela est déjà rassurant d'une certaine manière. Elle l'observait, guettant sa désobéissance ou le moindre geste incongru de sa part tandis qu'elle lui laissait une oreille plus qu'attentive. Vous seriez étonner de savoir ce que j'ai déjà vue, j'ai même parfois eut le droit de participer à des cérémonies inédite, mais puisque je n'ai aucun regret je ne me confesserais pas.

Qui plus est nous somme ici pour parler de vous et d'Ambrosia en un sens. L'homme installer sur le lit avait changer de position, sans doute plus à l'aise maintenant qu'il avait retrouver sa liberté de mouvement. Inutile de répondre à chaque morceau de phrase joliment dites, il ne noierait pas le poisson comme ça. Stolas précisait enfin sa réponse apportant davantage de réponse à l'éternelle insatisfaite. Son aspect hors du commun ?

Et pourquoi parler au passé ? vous en lui en voulez à ce point pour aujourd'hui ? Interrogatoire entrecouper ou discussion particulière tout dépendait du point de vue. Croire à la magie ? Etais ce une moquerie de l'homme en habit noir ? Enfin, plutôt de l'homme à moitié nue serais plus juste au vue de l'attention qu'elle eut porter à son corps plus tôt. Désormais, cela était révolue, au moins pour l'instant puisqu'il offrait enfin à son esprit de quoi se contenter.

Un initié tentant de se sortir d'une situation étrange sans trop en dire...Aucun sorcier blanc digne de ce nom ne vous aurais poussez à de tel extrémité, donc votre famille était des sorciers rouge ou noir bien que les dernier soit moins répandue. Quoiqu'il en soit vous pourriez être Lucifer lui même ou la pire ordure sur terre qu'elle n'en aurait rien à faire tant que vous respectez de ne point causer de tort aux siens.

Quand à ces marques je dirais bien un certain charme pour certaines, mais vous avez sans doute renoncer à leur avantage en même temps que les dons offert puisque vous portez l'habit. Dans le cas contraire peut être que j'aurais besoin de vos talents. Elle lui laissait le bénéfice du doute, enfin elle le lui laisserais après un dernière question ou peut être deux. Il est rare de tomber sur quelqu'un comme vous, mais chose promis chose due.

Un sorcier n'est pas la pire menace qui puisse peser sur elle, néanmoins si elle n'est pas comme vous vous faites partie du même monde, comme moi en un sens. Ambrosia se devait d'être concentré, ce rôle n'était qu'un de ceux endosser et le temps qu'il faudrait elle demeurerait cette autre femme. Faisant une pause chaque fois que sa langue manquait de fourcher, il y avait des silences comme pour laisser le temps à son hôte d'assimiler.

Votre rencontre ou vos retrouvailles tombe mal, outre le fait de sa célébrité mondaine qui attire le regard elle est plus que demander dans le monde surnaturelle. Et elle s'est retrouver avec beaucoup plus de sang sur les mains qu'elle ne l'aurais voulu. Qui plus est plus on se rapproche d'une certaine date et pire sera son comportement avant de revenir à la normale. Elle avait pris conscience que le mois de novembre se rapprochait en lui parlant...

Chaque année c'était la même routine et elle avait beau tenter diverses solution rien n'y faisait. Seul son isolement, quelques bouteilles et un bon équipement sportif faisait disparaitre le tourment d'émotion qui la submergeait et la rongeait  de l'intérieur. Chacun sa part obscur et elle ne faisait pas exception, la différence était qu'elle exorcisait seule ses propres démons même si ce n'était que temporaire.

Au fond elle n'avait jamais essayer de vrai solution, car elle avait peur du résultat, peur de perdre une part d'elle, peur de lui donner raison...  Quel genre de sorciers êtes vous ? Et jugez vous une créature à ce qu'elle est ou à ses actes ? Lentement elle se redressa et se rapprocha de lui laissant encore suffisamment de distance entre eux pour qu'il ne puisse pas l'effleurer.  Je sens votre curiosité, votre envie de bien faire malgré cet entre deux.

N'ayant crainte, il ne vous arrivera rien. Elle prit la main de l'homme et la posa sur son visage observant les réactions de ce dernier tout en se retenant de tout mouvement brusque et ce malgré le sentiment étrange provoquer par ce contact inédit. Elle le guida jusqu'a son épaule avant de s'arracher à sa prise frissonnante. Vous n'avez toujours pas peur de ce qui se trouve dans cette pièce avec vous ?

Sortit d'un conte pour enfant, aussi froide que la mort et à l'apparence unique pour chaque représentant. Jurez sur votre vie que vous ne me cachez plus rien ou avouez les bribes restante et je cesserais  de me dérober à votre vue. Je ne suis pas sur que vous apprécierez le spectacle, mais au moins vous seriez enfin entièrement libre de nouveau. Terrer dans un des recoins les plus sombre elle attendait silencieuse. Les yeux fermer et suffisamment concentrer pour que rien ne la trahissent le temps qu'il se décide.